1. Police polissonne (68)


    Datte: 26/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... conduisant nue et sans chaussures qu’avec. Sonia en a oublié la présence des caméras qui filment en permanence l’intérieur de l’habitacle. Cette situation n’est pas pour déplaire aux techniciens chargés de surveiller tout ce qu’il se passe à l’intérieur de la voiture. Sonia est de plus en plus impatiente d’arriver à l’endroit qu’elle connaît. Mike la force à ouvrir les jambes et lui doigte la moule avec vigueur. Son zguègue à la verticale laisse échapper du liquide pré-séminal qui coule doucement le long de son membre. Il est tellement occupé à lécher les tétons de Sonia qu’il ne sent pas la voiture ralentir et s’arrêter.
    
    — Allez, bouge ! lui dit-elle.
    
    Il lève la tête, regarde dehors et demande :
    
    — Pourquoi tu t’arrêtes là ?
    
    — Regarde dehors, c’est ta surprise...
    
    L’homme tourne la tête et aperçoit un bloc sanitaire qui semble être dans un état assez pitoyable.
    
    — C’est quoi ce truc ?
    
    — La pire des chiottes de toutes les autoroutes, tu vas aimer, descends.
    
    — À poil ?
    
    — Oui, à poil et suis-moi.
    
    En sortant de la voiture, elle aperçoit dans les fourrés un homme qui ressemble plus à un clandestin en manque d’hygiène, mais pas d’alcool ni de drogue. Elle lui fait un signe de la tête, l’homme fait deux pas en titubant puis s’arrête et attend. Elle s’est arrêtée là, car l’endroit est réputé pour voir passer toutes sortes de gens bizarres, exhibitionnistes et marginaux. En pénétrant dans les lieux, le ton est donné ; une forte odeur d’ammoniaque envahit ...
    ... tout le bâtiment. Il lui arrive de temps en temps de « péter un câble » comme elle dit et de faire n’importe quoi en matière de sexe ; un peu comme elle l’a fait pour les fêtes de fin d’année à Sissonne. Pour elle, c’est une sorte de défouloir quand la pression est trop grande comme en ce moment, car elle sait que ce soir, elle sera de nouveau à Cassis. Elle entre dans le premier des gogues turcs qui n’a plus de porte, l’intérieur correspond à ce qu’elle avait prédit ; une décharge municipale est sans aucun doute dix fois plus propre. L’homme qui les a suivis attend, il a déjà sorti sa queue et se branle en matant le cul de Sonia qui se penche en avant et appuie ses mains en appui sur la paroi au carrelage blanc (seulement par endroits). Elle n’ose poser ses pieds sur les emplacements réservés à cet effet. Pour ne pas voir la chiotte surchargée de toutes sortes de choses, elle ferme les yeux et fait de longues apnées pour résister à l’odeur.
    
    — Mike, amène-toi, baise-moi et encule-moi ; fais-toi plaisir...
    
    Il ne se laisse pas prier et empale la fliquette, sa bite entre sans difficulté dans le vagin trempé de cyprine ; l’homme derrière s’exclame :
    
    — Vas-y mec, baise cette salope, baise-la à fond, et après, tu me la passes que je l’encule ; je vais lui péter le trou du cul. Je vais la faire gueuler, elle va pleurer sa mère.
    
    Sonia sent bien l’excitation des deux hommes et se met à gémir pour les exciter encore plus.
    
    — Ah oui..., vas-y Mike, plus fort...! Humm c’est ...
«1234...»