Souvenirs de mon année Erasmus (7)
Datte: 25/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Napelast, Source: Xstory
... une femme ne m’avait taillé de pipe comme elle auparavant.
Elle veut en finir au plus vite alors que j’ai évidemment envie du contraire. Lorsqu’elle saisit mon sexe à pleine poigne et commence à me branler, je ressens sa détermination pour mener le dernier assaut. Pour ne pas craquer, ne pas tout gâcher, je décide de reprendre la main, avant l’irrémédiable.
Je la dirige en lui tenant le bras pour la mettre sur la table de son salon et je perçois une hésitation sur son visage, entre la déception de ne pas avoir réussi à mettre ses menaces à exécution et l’envie de se payer une belle partie de baise.
Je l’allonge avec force sur la table, retire son legging et remonte son tee-shirt. Je m’exécute comme je l’avais fantasmé. Elle ne porte plus qu’un petit shorty gris clair qui ne cache pas une trace de moiteur au niveau de l’orifice tant convoité.
Sans autre préliminaire, je décide de la pénétrer directement après avoir enfilé un préservatif. Elle pousse un râle. Sa chatte est si étroite, les sensations tellement folles, j’ai peur de ne pas tenir. Sans tendresse, je la lime pendant 5 bonnes minutes. Elle me fixe avec un air de défi.
— Alors petit branleur, comme ça, tu nous écoutais derrière ton mur et ça t’excitait ? Tu en avais marre de te branler tout seul ? Et t’aimes quand je gémis comme cela.
Son ton me plaît beaucoup et me rend fou. Toujours en missionnaire, je ralentis le rythme pour pouvoir durer. Elle s’en rend compte et pousse avec ses jambes sur mon ...
... cul pour qu’au contraire, j’accélère la cadence. Elle veut me voir abdiquer, me vider les couilles sans que je puisse le contrôler. Or, je n’ai aucune intention de la laisser me diriger. Je la retourne et l’affale sur le ventre toujours sur la table. Je la prends par derrière encore pendant une bonne dizaine de minutes.
Tout humain a ses propres limites. Je voulais la voir venir, mais c’est moi qui suis arrivé au bout de ma résistance.
— Le petit branleur va te servir un joli cocktail, ouvre la bouche ma belle.
Elle comprend vite la sentence à laquelle elle est condamnée et ouvre la bouche avec obéissance. Une bonne semaine d’abstinence et un orgasme puissant finissent dans son orifice buccal. Elle m’a puisé toute mon énergie. Elle avale ma semence avec appétit et se pose sur une chaise pour reprendre son souffle. Moi je me repose sur le mur la fixant du regard : quelle bête sexuelle, pensé-je.
5 minutes s’écoulent et alors que je commence à reprendre mes esprits tout en pensant à m’en aller pour ne pas avoir à subir cette épreuve de silence et de malaise, la sonnette de son appartement met fin à la quiétude qui s’est installée entre nous. Tous deux, nous nous fixons du regard avec panique. Qui ça peut-il bien être ? En marchant sur la pointe des pieds, elle se dirige vers la porte pour regarder par l’œil-de-bœuf.
Dans la panique en saisissant mes affaires, j’ai le temps de me dire que cela ne peut pas être son mec, tout simplement parce que dans un tel cas, il ...