De là, la débauche commence (4)
Datte: 24/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Galaxie55, Source: Xstory
... que moi de plus en plus. Arrivé à la garde, je commence à lui pilonner son exquise rondelle.
— Tu suces bien mieux que ma femme, ça c’est certain ! Proclame Léon, prenant de l’assurance, sa main dans le décolleté.
— Assis-toi sur la souche, on va la prendre en double, elle est fine prête, lancé-je à Léon.
— Non ! Je dis oui que pour me faire sucer, car à près tout, c’est pas tromper, confesse ce mari doutant de ses propres propos.
— Non, non, non ! Soit tu poses ton cul, soit je dis tout à ta femme ! Grogné-je, en démontant ma petite pute.
Roxane se redresse avec mon aide en s’agrippant à mes mains. Il s’exécute s’asseyant devant elle en mettant une capote, le sexe pointant vers le ciel. Je soulève ma diablesse par les cuisses pour la mettre directement assise sur mon viril partenaire. Ma complice guide ce membre de chair bien dure entre ses lèvres, de deux doigts experts. Elle coulisse avec aisance sur ce bâton, tandis que je lui assène des mouvements brutaux, en la tenant fermement par les hanches, allant toujours un peu ...
... plus loin dans ses tréfonds.
— Ho oui, remplissez moi ! J’aime ça ! Crie Roxane, en s’agitant efficacement sur nos deux verges plantées bien au fond.
Léon dévoile la superbe poitrine de Roxane et y plonge la tête, s’abandonnant à ses envies. Il la pénètre de tout son long, tressaillant le bassin, quand soudain, pris par son impulsivité, il jouit au fond de cette chatte brûlante en de longs spasmes, que je sens au travers de cette paroie si fine.
— Putain ta chatte est trop bonne ! Lance-t-il, comblé.
Il mordille ses aréoles alternativement et après un dernier coup de butoir de ma part, elle explose de plaisir en hurlant sa jouissance. Ses cris me déclenchent un orgasme puissant et je déverse ma semence, tout au fond de son anneau dilaté.
Soudain, nous entendons des bruits suspects dans les fourrés aux loin. Ni une ni deux, je prends mon courage à deux mains et le membre à l’air libre, je m’avance près de ce buisson. J’y découvre Camille à moitié dévêtue, la main dans son jean, un air honteux figé sur son visage si délicat.