La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1467) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1467)

... M’entendes et ressentes mais pas que tu Me vois, ainsi que ton environnement, là, tout autour de toi…

J’acquiesçais d’un signe de tête silencieux pour faire comprendre à Maitre que j’avais compris Son Exigence. Maintenant je savais qu’il s’agissait donc bien de moi ! Alors mon cœur se mit très fort à battre la chamade… Mon esprit fut en effervescence et mon bas-ventre réagit aussi car je mouillais instantanément de cette perspective tant désirée en mon cœur, en mon âme servile et si dévouée…

- Mes chers amis que le repas commence, lança-t-il à l’assemblée.

A ce moment-là, je savais que je ne devais pas bouger et que le repas débutait donc. Durant tout le festin, je restais immobile car je savais que Maitre m’observait mais aussi tous les autres Invités présents. Les grands plats se succédèrent et je ne bougeais toujours pas d’un millimètre... Une fois le dessert servit, Monsieur le Marquis dit :

- Que le spectacle commence ! Ma chienne, debout et laisse-toi guider...

Sans un mot je me relevais et je sentis Maitre me prendre par le bras et me guider vers ce que je croyais être une des croix de St André :

- Mes chers Invités, pour la première des différentes épreuves prévues pour Ma chienne esclave Cypris qui souhaite devenir Mon et une esclave MDE, Je vous laisse tester sa résistance tout en sachant que dans Mon Château le sang n’a pas sa place. Vous avez à votre disposition tous les accessoires que vous voulez… (Puis il me murmura à l’oreille)… Et bien ...

... évidement, Ma chienne je ne veux pas un son, ni un geste, tu restes aussi immobile qu’une statue et surtout impassible.

La première Domina ou le premier Dominant fit son entrée et commença par le martinet en cuir doux. Au coup infligés, je sus de suite qu’il s’agissait d’un homme car les Dominas sont plus cinglantes dans leurs coups, même pour chauffer la peau et une femme aurait pris un martinet en cuir dur. Ce Dominant me donna donc des coups doux pour commencer puis petit à petit les coups augmentèrent en intensité mais je restais aussi immobile qu’un poteau. Puis un ou une autre se présentait et se saisit du martinet eu cuir dur et commença à me fouetter plus durement. Sûrement une femme cette fois, mais comme tantôt je réussis à tenir immobile et impassible. Maitre ne perdait pas une miette du spectacle, enfin, c’est ce que je supposais, étant privée de la vue. Plusieurs personnes se succédèrent et pratiquèrent sur moi différents instruments tel que le fouet, d’autres utilisèrent le paddle ou les pinces sur mes tétons et lèvres intimes pour les faire sauter à la cravache ou au martinet. Je sentis aussi sur mon cul de salope, la badine très dure à supporter, plus que le reste, et j’avais du mal à me retenir de bouger, mais Walter m’avait fait beaucoup travailler et j’arrivais à ne pas bouger d’un centimètre...

Puis aux différents coups, je reconnus la façon de procéder de Maitre avec le fouet et j’arrivais plus facilement à lâcher prise. Et mon corps ‘s’envola’ car mon ...