1. À 10.000 mètres d'altitude


    Datte: 12/08/2018, Catégories: fh, inconnu, amour, Oral pénétratio, Auteur: Poterne, Source: Revebebe

    ... étreinte. Nous rions de surprise, j’ai un peu mal au coccyx et me relève doucement. Céline s’agenouille sur le bord du lit et me présente ses fesses fermes entre lesquelles, son sexe humide s’offre à moi. Je me positionne debout derrière elle et la pénètre. Notre étreinte ne dure pas très longtemps, car la lubricité de la position accélère mon orgasme. Je ne suis pas sûr qu’elle ait joui, mais nous nous écroulons ensemble sur le lit le souffle court.
    
    — Oh mon dieu, je ne sais pas si c’est l’adrénaline mais c’était vraiment très fort, me dit-elle en se lovant contre moi.
    — On se repose un peu et on remet ça.
    — J’y compte bien !
    — Céline si tu me parlais un peu de toi ? Que vas-tu faire à Nairobi ?
    — Non, je n’en ai pas envie, nous sommes deux amants au bout du monde et nous ne pensons qu’à notre plaisir, ne compliquons pas les choses
    — Comme tu veux, ma princesse.
    
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    Le jour suivant, après être arrivé à mon hôtel dans le quartier des affaires à Nairobi, j’ai réussi à dormir trois heures avant mon rendez-vous. Il faut dire que ces dernières vingt-quatre heures, je n’ai pas pu beaucoup me reposer, les quelques heures passées avec Céline ont été mémorables. Mais rien n’y a fait, elle n’a pas voulu me parler d’elle et après avoir récupéré son bagage, elle m’a quitté avec un petit geste de la main très discret. Dans l’avion je lui ai demandé si je pouvais la revoir mais sa réponse m’a laissé sans espoir :
    
    — Cela aura été ...
    ... comme dans un rêve, c’est là dans mon cœur ! Clément n’insiste pas !
    
    Bon ! J’essaye de penser à autre chose mais c’est difficile, mes pensées vont vers elle tout le temps ! Suis-je amoureux ? Déjà ? Pour me rassurer je me dis que c’est son corps, ses seins, ses lèvres qui me manquent ! Évidement elle a quelqu’un, une fille comme ça ne reste pas seule !
    
    Je retrouve mon client, Robert Stringle, un Anglais que j’ai connu à la fac, il faisait Erasmus. J’ai un peu gardé le contact et maintenant c’est mon client. Il doit m’acheter du matériel pour son entreprise implantée à Nairobi. Après quelques effusions et quelques souvenirs (pas trop, car sa prétention m’a toujours un peu tapé sur les nerfs) nous parlons business et nous signons les contrats. Je lui dis que je repars après-demain, car j’ai un autre client à voir. Il m’invite à sortir avec lui, il connaît des boîtes et nous irons faire la bringue comme quelques années auparavant à Paris. N’ayant rien d’autre à faire j’accepte, comme ça je ne penserais pas à Céline !
    
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    Je suis à moitié ivre, il est deux heures du matin, Robert et moi nous nous dirigeons vers notre troisième boîte pour un dernier verre. Nous entrons dans un club sombre, de la musique africaine se déverse doucement, Robert parle avec une serveuse qui nous accompagne dans une alcôve où nous nous affalons dans de grands fauteuils. Nous commandons deux pur-malt : « histoire de se finir », me dit-il. Je ne comprends ...
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