Un deuil peu commun... (2) - Histoires de Sexe

Un deuil peu commun... (2)

... voudrait que tu remettes le tailleur que tu portais le jour de la crémation.

— Ah bon, drôle d’idée, c’est un peu morbide !

— Justement, pour effacer cette mauvaise impression, il voudrait que tu fasses quelque chose pour lui !

— Tout ce qu’il voudra, si ça peut lui redonner le moral !

— C’est un peu...incongru !

— Ah bon, mais explique !

— Et bien c’est un peu spécial !

— Écoute Paul, on en a parlé ; je suis prête à exaucer ses vœux, du moment que ça lui fasse du bien !

— Bon alors dans ce cas...il veut que tu portes tes vêtements sans rien en dessous.

— Ah bon, il ne veut pas que je mette de bas ? (Là, je commençais à comprendre pourquoi ma femme était si influençable. En définitive, elle était un peu innocente...voire stupide, pour peser ses mots ! Et je me disais qu’effectivement mon père allait pouvoir en faire ce qu’il voudrait...pour ma plus grande excitation ! )

— Pas tout à fait ! Il veut te "sentir" en bas et porte-jarretelles, mais sans rien d’autre !

— C’est a dire ?

— Il veut que tu nous serves l’apéro de ce soir en porte-jarretelles et bas noirs, sans soutien gorge et sans string. En gros, il veut que tu aies la chatte à l’air, sous ta jupe de tailleur et les seins nus sous ton chemisier ! (bon sang, pensai-je, c’était pourtant pas compliqué à comprendre !!)

— Ah bon ? Bah ok ; ça ne me pose pas de problèmes…si ça peut lui remonter le moral ! "

J’étais abasourdi. J’aurais presque pu lui demander de nous servir à poil ! ...

... Enfin ce serait un peu prématuré ! Mais j’étais trop excité par le spectacle de ce soir !

C’est donc une Cécile en chemisier blanc, qui laissait apparaître deux tétons qui pointaient à travers le tissu blanc et fin, et le sexe nu sous sa jupe, avec porte-jarretelles, qui nous apporta notre whisky vespéral ! Les deux derniers boutons étaient détachés, si bien que mon père comme moi, pûmes voir les seins de ma femme, quand celle-ci se baissa pour nous donner nos verres. Ensuite elle se plaça dans le fauteuil en face du sofa où nous étions assis, si bien qu’en prêtant un peu l’œil, il était possible de voir la touffe de la petite chatte de ma femme !

Quand celle-ci décroisait les cuisses ! Pour notre plus grand bonheur à tous les deux !

Malheureusement, alors que j’étais excité comme une guêpe sur une sucrerie, ma femme abandonna ses tenues sexy au coucher, pour revêtir sa robe de nuit informe ! Et alors que je tentais de lui caresser les seins et le sexe, pour parvenir à un coit bien mérité et libérateur, elle se tourna de son côté en me disant bonne nuit. " Petite salope, me dis-je...on va bientôt te forcer à être une véritable petit pute ! "

Le soir je rejoignis mon père comme d’habitude.

" Alors, tu l’as tringlée ta femme...elle avait le feu au cul ce soir ! Regarde un peu ça ! "

Et je vis, effaré, les jeux de jambes de mon épouse, ainsi que ses fréquentes flexions du buste, pour soi-disant prendre des petits four sur la table basse, ce qui fait que sur son ...