Aux Champs-Elysées (suite)
Datte: 20/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds
Il est midi vingt-cinq et je me rends compte qu’en écrivant mon précédent récit, à faire trop de biographie, j’en ai oublié le principal détail : l’aventure de Virginie, boutique des Champs-Elysées car c’est bien de cela que je voulais évoquer avec vous, pour vous. Je vais donc le faire dans le présent récit, ce qui ne change rien aux éléments précédents : Alex est toujours Alex et ma chérie et toujours ma chérie.
Virginie commença donc son job d’été peu après la mi-juillet. Elle avait vingt-et-un ou vingt-deux ans, et venait d’avoir son BTS en poche. A la nouvelle de sa réussite, nous faisions l’amour et quand elle apprit qu’elle était prise pour travailler dans la boutique, nous fêtions cela de la même manière. Il faut dire que ma belle est toujours partante pour une partie de câlins et bien-être. Je n’imaginais pas qu’elle pouvait faire cela aussi souvent que possible même sans moi.
Dans la boutique, Alex lui montrait les rudiments de la caisse enregistreuse et lui expliquait comment faire te comment s’en servir. Ma belle apprit très vite et fut très réceptive et très vite Alex lui laissa faire les ouvertures de la boutique vers 10 heures ou 9 heures le matin. Dans la boutique, il y avait en permanence 6 ou 7 vendeurs, que des filles sauf parfois Alex qui n’était pas toujours là et l’autre garçon dont je ne connais pas le nom. Alex s’entendait bien avec ce dernier si bien que je les soupçonne plus d’une fois d’avoir fait des choses avec les filles, peut être avec ...
... des filles de la boutique, en tout cas celles qui ont voulu. Je ne sais pas s’il y en avait mais toujours est-il que l’homme invita souvent Virginie dans la réserve où était stockés tous les produits à vendre en surplus. Il fallait de temps en temps réapprovisionner les rayons et c’est souvent Virginie qui se coltinait à la faire. Cela ne dérangeait pas du tout la belle pour qui toute activité dans la boutique était un plaisir. Ma chérie se disposait à faire tout ce que Alex lui demandait. Celui-ci n’arrêtait pas de la draguer et de la flatter jusqu’à passer sa main dans le dos de ma chérie et la prendre même par la taille. Virginie lui avait pourtant bien dit plus d’une fois :
- « Attention, tu vas trop loin là ! ».
Le problème est qu’elle lui disait toujours cela avec le sourire comme si elle avait envie effectivement qu’il continue, ce que Alex fit régulièrement. A chaque fois, il s’excusait puis revenait à la charge :
- « Tu ne peux pas te passer de moi, on dirait ? » renchérit ma belle.
- « Non, tu es trop bandante, tu me fais bander vraiment », lui répondit Alex.
Virginie était flattée :
- « Allons, tu sais que j’ai un copain. Puis tu n’as pas une copine toi ? »
- « Je suis célibataire depuis un an. Je suis en manque d’affection »
- Mouais ? c’est ce qu’on dit. Tu dis ça pour m’amadouer.
- Non je te jure, c’est vrai.
Virginie était attendrie par la sincérité et les petits gestes d’affections d’Alex. Plusieurs journées s’coulèrent ainsi entre ...