Sacré Windows et ses pannes ! (4) - Histoires de Sexe

Sacré Windows et ses pannes ! (4)

... c’est bon, baise, baise-moi, viens je t’attends »

Elle n’a pourtant pas vu que Thomas était derrière la porte, mais elle pense à haute voix.

En ouvrant grand la porte, c’est un beau spectacle qui s’offre à Thomas : comme lors de leur premier rapprochement sexuel. Liliane, nue sur le lit, à califourchon, les cuisses écartées, le cul offert, se ramone vigoureusement la chatte avec son gode tout en gémissant. Les paroles se répètent à nouveau : « Viens, viens, j’ai le cul en feu, je veux ta bite, prends-moi par derrière en même temps que le gode. Défonce-moi, tu m’as demandé de me laisser baiser, alors fais-moi jouir. ».

Particulièrement excité Thomas a quitté son jean et son boxer et présente son imposant membre à l’entrée de la grotte arrière de sa mère.

- « J’ai tellement mouillé que mon orifice doit être suffisamment lubrifié, sers-toi de mon jus pour bien me pénétrer, n’aie pas de crainte, j’ai l’habitude de me goder avec du gros et très profond. »

Thomas n’en revient pas du vocabulaire et des demandes de sa mère. Cela décuple son excitation. Même si c’était son fantasme avant leur première partie, il n’aurait jamais imaginé qu’il aurait tant de plaisir à forniquer sa propre mère.

- « Je sens ta queue qui cogne sur le gode à travers la paroi de mes entrailles. »

- « Maman je vais jouir ! »

- « Ne m’appelle pas « maman » dans ces instants. Comme tu voudras : Liliane, ma pute, ma salope, c’est plus réaliste et excitant. Crache tout dans mon cul, ...

... j’aime jouir du cul, mais toute seule, il me manque le jet de sperme. »

- « Tiens, chienne de pute, je pars, je me vide. Ahhhh »

- « Que c’est bon, c’est chaud, j’ai joui en même temps que toi. »

Après un instant de repos, collés l’un à l’autre, Liliane demande à Thomas :

- « Reste en moi, c’est trop bon ta bite dans mon cul. Pour la première fois, c’était sublime. Je garde aussi le gode dans mon con, on va s’endormir comme ça. »

Tous les deux sombrent dans un sommeil réparateur. Thomas qui s’était retiré involontairement, car il ne bandait plus, se réveille le premier. L’envie de peloter les gros seins de sa mère l’amène à une nouvelle érection. Les caresses réveillent Liliane.

- « Tu bandes encore petit salaud ? »

- « Oui, en te tripotant, je pense à ce que tu m’as dit d’Amélie et je vous imagine en train de vous gouiner. Raconte-moi votre partie de baise. Tu avais commencé et ça m’excite. »

- « En fait, pendant que nous travaillions à son devoir, elle a eu des attitudes équivoques avec des jeux de jambes contre les miennes. Nos regards se sont souvent croisés d’autant que chacune semblait dévorer des yeux la poitrine de l’autre. Nous nous sommes embrassées, caressées et elle a insisté pour que nous nous revoyions. Elle m’a confirmé qu’elle aimait les femmes matures comme moi et m’a dit qu’elle aimerait être mon jouet sexuel. Très excitée par cette demande, car je n’avais jamais éprouvé de désir pour une femme, je lui ai donné mon n° de tel.

Quand elle ...