Rencontre inespérée
Datte: 01/02/2018,
Catégories:
fh,
campagne,
Oral
Auteur: Tendreetdoux91, Source: Revebebe
... parcelle de sa peau. Sylvie m’encourage en posant sa main dans ma chevelure. Sa respiration devient de plus en plus rapide.
— Oh, Pierre, je t’en prie, continue ! Continue ; tes mains, ta langue ! Ne t’arrête pas…
Ma langue s’est mise à pétrir ses mamelons tendus par le désir. J’use de tout mon art des caresses afin d’être à la hauteur de ses attentes.
— Pierre, viens m’embrasser !
Les visages l’un contre l’autre, je sens la main de Sylvie qui ouvre ma chemise.
— J’ai envie de sentir ta peau contre la mienne…
C’est à mon tour de frissonner de plaisir lorsque la pointe durcie de ses seins effleure mon épiderme. Mes doigts se perdent dans ses cheveux bouclés, puis nous roulons l’un sur l’autre. Maintenant allongés dans l’herbe, c’est à mon tour d’être à sa merci. Elle me sourit tout en approchant son visage du mien. Nos lèvres s’unissent. Mes doigts abandonnent ses cheveux pour découvrir son dos.
— Oh oui, mon dos… Caresse-le !
Le joli chemisier quitte ses épaules. À cet instant, ses cheveux chatouillent mon visage ; le doux contact de ses seins fermes qui se pressent sur ma poitrine me rend de plus en plus fou de désir. Mes mains descendent vers ses reins, s’attardent sur la douce courbure de ses hanches. Sylvie semble beaucoup aimer mes caresses car je la sens frissonner de bien-être sous mes doigts :
— Je t’en prie, ne t’arrête pas ! Tes mains… La chaleur des rayons du soleil…
— Il ne te caresse jamais, ton mari ?
— Oh tu sais, chez lui, les ...
... préliminaires, c’est assez succinct. Il me pénètre, classiquement puis s’endort très vite !
— Il ne te fait jamais, comment dire… une petite gâterie ?
— Je voudrais bien, mais il trouve cela dégoûtant !
— Comment, dégoûtant ? Alors que moi, rien ne peut m’empêcher de goûter au sexe de ma partenaire !
Sylvie est de nouveau allongée dans le soleil, les bras repliés sous sa tête. Une jambe tendue, l’autre délicatement à demi-fléchie. Mes mains se posent sur sa gorge, s’attardent sur ses seins pour terminer sur son ventre tiède. Ce que je veux : que Sylvie redécouvre le bien-être des longs préliminaires. Mes yeux ne quittent pas son visage, scrutant cette douce montée du plaisir. Ayant enfin cajolé, embrassé chaque parcelle de sa peau, mes doigts s’enhardissent sous son corsaire ; ils y découvrent une culotte de dentelle, et enfin la moiteur de sa tranchée intime. Mes doigts se plongent dans son intimité ruisselante, puis ressortent de leur cachette tout englués de son nectar. Ma bouche se régale de la cyprine déposée de mes doigts.
— Tu vois ? Moi, je ne trouve pas cela dégoûtant.
— Alors, viens me goûter !
Sylvie soupire d’aise lorsque son corsaire glisse le long de ses jambes. Il va rejoindre ma chemisette et le joli chemisier à fleurs dans l’herbe verte. Mon cœur bat à tout rompre. Elle est quasi nue. Seule sa fine culotte de dentelle masque sa toison.
— Alors, j’attends… J’attends ! dit-elle d’une petite voix nouée par le désir.
Le dernier rempart à mon envie ...