Zya, ma petite sœur et moi... (1)
Datte: 19/02/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: SIQUOIR, Source: Xstory
... comme une drogue pour nous, nous avons besoin de nous sentir l’un dans les bras de l’autre, de nous toucher, de nous donner du plaisir.
Et ce n’est que comme cela qu’on se régénère, qu’on se ressource, que nous retrouvons des forces pour affronter le quotidien. Je dois aussi avouer que Zya n’a pas de chance avec les hommes malgré son superbe corps bien entretenu et sa beauté fatale. Les hommes qui la font fantasmer ou qu’elle emmène dans son lit, ne sont pas toujours recommandables. Ce sont des voyous, des brutes, des alcooliques ou encore des salops, et je pense que c’est un peu pour ça qu’elle revient toujours vers moi pour se réconforter.
Elle sait que quoi qu’il lui arrive, je suis, et je serai TOUJOURS là pour elle, donc elle vient chez moi pour chercher une certaine tendresse, de la douceur et pour retrouver un certain équilibre, que je lui donne tout naturellement, et dont elle a un grand besoin dans ces moments-là ! Pratiquement à chaque fois qu’elle revient vers moi, je sens d’office que quelque chose ne va pas, et qu’elle a besoin de soutien et de compréhension.
Nous ne sommes mariés ni l’un ni l’autre, car nous voulons garder notre indépendance et une certaine liberté d’action. Lorsqu’on nous parle d’avoir des enfants, nous répondons que pour l’instant nous n’en éprouvons pas le besoin, ni même la volonté d’en avoir. En étant enfants, nous avons été élevés à la dure, avec un grand respect de la religion catholique, nos parents étant très croyants et ...
... pratiquants. Notre père travaillait sur des chantiers, il partait le matin vers les sept heures et revenait le soir aux alentours des 20 heures.
La mère, elle, s’occupait du ménage, de notre éducation, et elle cultivait beaucoup de légumes. Elle était pratiquement toute la journée dans les champs ou dans plusieurs jardins, qu’elle entretenait. Et nous, quand nous n’étions pas à l’école ou en train de faire nos devoirs, on devait s’occuper d’une cinquantaine de lapins, de fendre du bois à certains moments, à retourner le foin ou le regain, plusieurs fois dans la journée. Nous aidions notre mère dans ses plantations ou on allait faire du bois en forêt avec nos parents pour pouvoir passer l’hiver bien au chaud. Eh oui, c’était ça notre enfance ! Et c’est pour cela que je dis que nous avons été élevés à la dure, il n’y avait pas beaucoup de temps pour jouer, mais jusqu’à ce jour, nous ne regrettons absolument rien. A l’époque c’était à peu près pareil pour tous les campagnards avec des enfants, lorsqu’on habitait à la campagne.
Nous n’avions pratiquement jamais été malades, nos parents nous aimaient, mais nous n’étions pas gâtés comme les enfants d’aujourd’hui, comme éducation sexuelle c’était carrément le néant. On n’en parlait jamais, nous apprenions la sexualité sur le tas, en voyant les animaux pratiquer ou se faire saillir, tels les lapins, les chiens, les vaches, les cochons, les chevaux. Etc. Seules les filles avaient une certaine éducation sexuelle, mais c’était minime. ...