Souvenir d'été. L'orage.
Datte: 18/02/2022,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
vacances,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
couplea3,
Auteur: Gem, Source: Revebebe
Nathalie avait invité, pour un week-end et histoire de changer ses idées, son amie Julie, récemment larguée par son copain, dans notre location d’été. Une petite maison, aux volets bleus, idéalement située, sur une île, à dix minutes, seulement du continent.
Les femmes, par ce ciel bleu, voulaient, ce jour-là, sillonner, à vélo, les ruelles de l’île, jusqu’au phare. Je déclinai l’invitation, préférant une bonne farniente, avec un bon bouquin sur le transat, aux exploits sportifs en plein soleil.
Je savais aussi que les deux amies aimaient se retrouver seules pour échanger leurs secrets féminins. Ce qui a dû être fait, dans les rues étroites, bordées de maisons de pêcheurs.
Les voilà parties depuis une heure, mais au fil des minutes, le ciel s’assombrissait. On m’avait prévenu qu’en cette région de France, le temps changeait vite. Quelques grosses gouttes commençaient à tomber. Je m’abritai sur la terrasse couverte. La pluie d’orage se faisait violente, à présent. Dans quel état, allais-je retrouver les deux amies et complices ?
Des rires me tirèrent de mes pensées. Les deux bicyclettes furent jetées, avec précipitation, sur la pelouse, près des hortensias. Les deux amies, trempées des pieds à la tête et cheveux collés aux tempes, passèrent, toujours en riant, devant moi en me lançant :
— On va se sécher !
Une belle image me restait, dans cette cavalcade : c’est le ballottage de leur poitrine, libérée de tout soutien-gorge, aux mamelons dressés, sous leur ...
... tee-shirt mouillé.
Les rires retentissaient toujours aussi forts dans la chambre où elles avaient trouvé refuge. Puis soudain le silence, excepté la pluie sur le toit.
Par curiosité, je m’approchai de la pièce. Comme fait exprès, la porte était entrouverte. Je risquai un œil.
Nathalie, entièrement nue, était plantée derrière sa copine, aussi nue qu’elle. Les vêtements trempés étaient à leurs pieds. Ma femme roulait par gestes rapides, à l’aide d’une serviette éponge, les longs cheveux bruns de son amie.
Julie était plus petite que ma femme, plus ronde aussi, avec une poitrine avantageuse. Elle avait le teint mat qui, associé à sa voix italienne, soupçonnait des origines latines.
La serviette tomba à terre rejoindre les vêtements. Julie se retourna et fit face à Nathalie qui la poussa en arrière sur le lit en lui lançant :
— Maintenant, je vais te réchauffer à ma manière.
Dans un premier temps, surprise, son amie se décontracta ensuite, allongée sur le dos, bras écartés sur la couette moelleuse.
La langue de Nathalie commença par le haut d’un sein et descendit carrément sur le téton déjà dressé. Puis elle lécha les deux globes parfaits de Julie qui commençait à gémir doucement.
Mon excitation de voyeur montait. Je sentais une bosse se former dans mon pantalon.
La langue de ma femme continuait son chemin : son ventre, son nombril, puis sa toison très peu fournie. Les jambes de Julie étaient déjà écartées et pendaient le long du lit. La tête de ...