Aïcha (3)
Datte: 17/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: balista, Source: Xstory
... semblent m’appeler à remplir mon office de mâle. J’en peux plus, je me plonge dans cette femme avec toute la hargne du mari cocu. Il faut que je sois au moins aussi bon que l’autre, mais depuis le temps que je bande à mort, je ne tiens pas la distance, et rapidement, je gicle violemment dans sa matrice, à son tour, elle s’agite dans tous les sens, elle me serre contre elle, jusqu’à ce que je sente ses griffes dans mon dos.
Mais rien n’y fait, contrairement à d’habitude avec Aïcha, je reste d’une dureté exemplaire, je ne débande pas d’un soupçon de cils et on reprend nos mouvements, je prends sa bouche, même avec tout ce qu’on a bouffé, son haleine est fraîche et sa langue subtile, le baiser dure, jusqu’à ce que sans me déboîter, je me mette sur le dos et elle vient me chevaucher, je peux mieux la voir ainsi, magnifique statue noire, ses seins encore menus, car elle n’a pas encore eu d’enfants, sont délicieux, je ne peux m’empêcher de me soulever, ce qui diminue la pénétration, mais me permet de les prendre en bouche, sa légère transpiration et son parfum naturel transmettent à mon cerveau le besoin d’être plus pressant. Mais après la première jouissance, je suis beaucoup plus résistant et les deux on en profite.
Elle se balance dans un rythme de plus en plus rapide, je sens qu’un deuxième service n’est pas loin d’arriver, c’est vraiment délicieux de sentir son vagin brûlant qui me compresse la pine et ses va-et-vient continuels sont trop bons pour que je puisse ...
... retenir très très longtemps le flot de mes enfants potentiels voulant coloniser une partie d’Afrique.
Après avoir inondé copieusement sa grotte, entraînant un orgasme de sa part accompagné d’une morsure dans le gras de l’épaule, presque jusqu’au sang. On se détache l’un de l’autre pour s’allonger.
— Merci qu’elle me dit, elle a de la chance ta femme, j’ai pas encore eu un plaisir si grand qu’avec toi.
— Mais Mamadou est plus jeune et surtout, j’ai l’impression qu’il a un beaucoup plus grand sexe que moi.
— C’est bien cela le problème, moi, j’ai une petite cavité et chaque fois qu’il me prend, j’ai tellement mal que je n’arrive pas au plaisir alors que la tienne me semble bien adaptée à moi.
Devant ces compliments, je recommence à bander, ce qui ne m’était pas arrivé depuis belle lurette. Elle me dit :
— L’effet du boniak fonctionne bien avec toi, tu es à nouveau prêt à consommer, laisse-moi déguster ton pain d’épice.
Sans attendre la réponse, la voici qui prend mon sexe encore rutilant de nos débauches précédentes et le suce sans dégoût.
— Tu n’es pas dérangée par l’odeur et le goût de ton propre plaisir ?
Entre deux bouchées, elle me répond que non, elle aime aussi les femmes, mais elle comprend que tout le monde n‘est pas attiré par le goût des fluides intimes, mais elle, elle aime bien l’odeur de sa foufoune.
Suite du récit d’Aïcha
Mais le lendemain, je retrouve mon mari que je n’ai pas vu de la nuit et je sais bien pourquoi, moi non plus je ne ...