Michel et Julie (1) - Histoires de Sexe

Michel et Julie (1)

... journée et la nuit aussi, j’espère que si tu me vois ainsi que cela ne te dérangera pas ?

— Pourquoi as-tu une nuisette sur toi ? On peut dire que tu ne caches pas grand-chose, tu n’as pas de culotte on dirait ?

— J’ai mis une nuisette par principe, je ne voulais pas te choquer sur mon comportement, mais toi, tu es à poil et on dirait que tu n’es pas insensible à ma tenue, ton sexe remonte à la surface, dirait-on, tu bandes quoi.

— Je ne peux pas le cacher puisque tu es assise sur le drap, mais on dirait qu’il te fait de l’effet, déjà cet après-midi, tu avais les yeux fixés sur lui, on aurait dit qu’il n’y avait plus rien qui existait autour de toi, puis ne viens pas me dire que tu ne ressens pas des picotements dans ton vagin, bref si tu veux tester la longueur de ta main autour de ma colonne, je te donne la permission.

— C’est vrai ce que tu me proposes, mais si je le fais, il ne faudra pas t’en vanter ou bien le dire à d’autre personne !

— Mais non Julie, je garderai cela pour moi enfin pour nous.

Sans attendre, Michel prit la main de sa sœur et la posa autour de son membre puis il retira sa main.

— Allez Julie, serre-le un peu plus fort puis fais la coulisser sur tout le long de mon sexe, enfin je pense que tu as déjà branlé un mec ?

— Oui ! Je sais comment faire, mais regarde mon pouce et ma majeur ne se rejoignent pas, tellement ta queue est grosse, mais je dois ...

... te dire que tu as un bel engin et que les filles doivent se régaler lorsqu’il est entré dans leur puits d’amour, sûr que si j’avais eu un mec avec un tel membre, j’aurais joui à en mourir.

Pendant qu’elle branlait doucement le gros piston de son frère, Michel la regardait, Julie avait rougi et ses yeux ne quittaient pas le gland qui prenait de l’ampleur et de la rougeur, une petite perle de pré-sperme commençait à poindre et Julie passa sa langue sur ses lèvres, Michel avait compris que la soirée n’allait pas se terminer juste sur une branlette.

— Tu peux la prendre à deux mains si tu veux, ou alors que ta main libre caresse mes couilles, je t’avertis à l’avance, si tu fais la caresse et la branlette, je vais jouir, ta main est si chaude et douce et puis cela me change que lorsque c’est moi qui me branle.

Julie n’hésita pas une seconde immédiatement, elle caressa mes couilles et commença à me masturber plus rapidement, mais toujours avec douceur.

— J’en conclus que tu veux me faire jouir, alors écarte un peu tes cuisses pour que je te caresse ta chatte, et je suis sûr qu’elle est déjà humide puis ta venue dans ma chambre était préméditée, n’est-ce pas ma chérie de sœur.

— Oui ! Tu as raison, j’avais envie de revoir ta belle et grosse queue, j’avais envie de la prendre en main, de la faire juter, continue à me caresser ma foufoune, peut-être jouirons-nous ensemble ?

A suivre.