1. L'auberge des trois soeurs (1)


    Datte: 16/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... avait repris la ferme parentale une dizaine d’années plus tôt à la suite du décès brutal de ses parents et de son frère cadet dans un accident d’avion. D’accord avec ses jeunes sœurs qui poursuivaient encore leurs études, elle avait vendu une grande partie des terres et des bois pour engranger de l’argent frais et transformer les bâtiments annexes en une maison d’hôtes avec des chambres confortables...
    
    Les trois sœurs habitaient dans l’ancienne maison parentale dont nous connaissions la grande pièce principale où des îlots très confortables étaient aménagés devant l’immense cheminée à l’âtre.
    
    Marianne et Meredith, les plus jeunes étaient depuis l’ouverture, chargées de l’entretien des chambres et de la préparation des petits-déjeuners et des dîners avec une femme du village voisin, le repas de midi n’étant pas assuré pour les pensionnaires...
    
    Tout semblait rouler à merveille, ce que Sergine me confirma.
    
    Mais les hommes dans tout cela ? A cette réflexion, mon impénitente bavarde me répondit en riant que nos hôtesses s’absentaient parfois pour la nuit. Allez savoir pourquoi ???
    
    Lucile, Marianne et Meredith étaient de robustes filles qui avaient certainement aidé leurs parents dans les travaux de la ferme essentiellement tournée vers l’élevage de vaches laitières comme il y en a beaucoup dans la région.
    
    Assez semblables, elles étaient âgées respectivement de 35, 32 et 30 ans. Toutes les trois elles étaient coiffées de la même manière : un chignon bas sur la ...
    ... nuque qui discipline une abondante chevelure brune. Elles avaient des yeux bleu délavé dans un visage aux pommettes légèrement rosées de filles vivant au grand air. Quand je dis robustes, elles n’avaient rien à voir avec les starlettes qui posent pour les magazines ! Elles mesuraient environ un mètre soixante-quinze, elles avaient une poitrine bien rebondie, une taille relativement mince qui s’évasait sur des hanches pleines. A les voir évoluer autour de nous, je ne pouvais m’empêcher de les trouver jolies.
    
    Le dimanche soir nous n’étions que cinq à table. Le couple de parisiens avait terminé son séjour et il était reparti en fin de matinée et Lucille était absente. Comme la veille, nous avons terminé la soirée devant le feu à l’âtre qui crépitait doucement dans la fraîcheur relative d’une belle soirée de printemps.
    
    Meredith nous demanda si nous avons déjà établi le programme des jours à venir et elle nous a indiqué des buts de visite, notamment le musée de l’horlogerie et le Jura suisse qui n’était pas très éloigné.
    
    Marianne confirma les dires de sa sœur cadette mais je déclinai ces propositions en disant que j’étais venu me reposer, et que je verrais plus tard, que les premiers jours, je voulais profiter du calme, et que la randonnée avec le couple de Belges suffisait à mon bonheur pour l’instant !
    
    Meredith éclata de rire en disant :
    
    — Du calme. Vous allez en avoir, c’est la morte saison. En hiver nous avons parfois la visite de skieurs de fond et l’été, nous ...
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