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Le projet artistique (21)
Datte: 15/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory
Maxime narrateur Je m’interrogeai pendant plusieurs jours. Je savais que j’aimais Amandine et qu’elle m’aimait aussi. Mais je me posais une question, pourquoi n’avais-je ressenti aucune jalousie lorsqu’elle avait sucé et avalé le foutre de Germain. Et j’étais sûr qu’elle-même n’avait ressenti aucune jalousie lorsque je m’étais vidé dans la bouche de Liz. Etait-ce parce que l’amour que j’éprouvais pour elle n’était pas aussi fort que je le croyais ? Etait-ce le récit de la rencontre entre Elisa et Paul qui m’avait induit en erreur en m’ayant trop bouleversé pour ne pas mélanger tout ? Je décidai de profiter d’un rendez-vous cinéma avec Amandine pendant les vacances pour lui en parler. A la fin de la séance, je lui fis part de mes questions : — Qu’en penses-tu ? — Je me suis plus ou moins posé le même genre de question en fait. — Alors ? — Je n’ai pas plus de réponses que toi. — Nous voilà bien avancés. Qu’est-ce qu’on fait ? — On en parle aux autres ? Je veux dire Liz et Olivier, Marie et Germain. — Sylvie et Carine ne sont en effet pas dans la même situation. D’ailleurs, elles auraient bien eu besoin d’une épaule à la fin du récit. — Oui, j’ai vu. J’étais un peu triste pour elles. Tu aurais pu proposer ton épaule. — Et ça ne t’aurait pas gêné ? — Non, pourquoi ? — Bah, on était là dans un moment plus qu’intime. Plus que simplement sexuel comme la fois d’avant. — Oui, mais je les aime. Je veux qu’elles soient heureuses. Je réfléchis ...
... un instant. Si Olivier ou Germain s’étaient trouvés seuls, aurais-je été jaloux de voir Amandine les réconforter à ce moment-là. Je m’aperçus que non. — Et c’est vrai pour Germain et Oliver, je les aime aussi. Cela ne m’aurait pas gêné de te voir les réconforter. Je vis Amandine pensive, puis elle sembla comprendre quelque chose : — En fait, la raison de notre absence de jalousie ce n’est pas ça ? On s’aime tous les uns les autres ? — Je sais pas si c’est si simple. Je sais que je n’éprouve pas la même chose pour toi que pour Oliver, Carine ou Sylvie. — Alors je ne sais pas. — Il faudrait voir avec eux. Je vais essayer de les inviter à la maison à la fin des vacances. Ils devraient être tous revenus. — Carine et Sylvie aussi, tu les invites ? — Je sais pas. Je demanderai aux autres en les appelant. Je contactai les deux couples. Ils étaient disponibles le dimanche après-midi. Je perçus qu’ils avaient tous eu les mêmes doutes. Ils convinrent que pour cette fois, il ne fallait pas inviter Carine et Sylvie. D’abord, elles se seraient retrouvées célibataires au milieu de couples. Et ensuite, nos questions concernaient nos couples. * * * J’avais préparé mon studio photo pour l’occasion et installé des chaises, des coussins au sol. J’avais pris des boissons sans alcool et de quoi manger. Pour un goûter entre jeunes gens bien sous tous rapports, histoire d’endormir la surveillance de ma mère. Mais j’avais prévu de la musique pour que nous puissions ...