1. Le toboggan


    Datte: 14/02/2022, Catégories: fh, ff, fhh, voisins, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, attache, baillon, confession, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... moi s’est mis à résonner de cris, de gémissements, d’appels.
    
    Alors, j’ai entendu l’écho de cette musique, plus loin, dans le toboggan, et ma glissade a recommencé.
    
    Je ne me connaissais pas vraiment. Comment, à mon âge, mariée, mère de famille, peut-on être aussi ignorante des aspirations profondes de votre corps. Mais pas seulement de votre corps, aussi de vos envies insoupçonnées, cachées, pire, que vous auriez condamnées en temps normal. Mais rien n’était normal avec Nadia qui, d’amante, s’est transformée en guide, une guide me dominant, me faisant des choses que je n’aurais jamais imaginées. Je n’ai refusé qu’une seule chose, la croix de Saint-André, qui me rappelait trop une éducation religieuse encore frémissante. Mais Nadia a remplacé la croix par tout un jeu de suspensions, par le banc à fessées, par des jouets érotiques avec lesquels je rentrais parfois à la maison et guidée à distance par la volonté de ma maîtresse, je ne les enlevais que juste avant que mon mari me prenne. « Coquine, tu es drôlement ouverte ce soir », il me disait alors que je m’arrangeais qu’il me prenne par mon petit trou, petit trou encore baillant du plug que je venais d’enlever. J’avais honte. Mais la honte était balayée par le plaisir que Marc avait de me défoncer, comme on peut défoncer une coquine, une salope qui criait encore, encore, pendant qu’elle supportait ses avancées brutales, mais ô combien délicieuses.
    
    Et pendant toutes ces semaines, je continuais ma chute dans ce toboggan ...
    ... sans fin.
    
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    Mais, une nouvelle occasion m’a été donnée d’interrompre ma chute. Une porte de sortie est apparue. Une porte, certes particulière, mais qui aurait dû me faire prendre conscience que je filais un mauvais coton.
    
    — Non, je ne veux pas, ce serait tromper mon mari.
    
    Voilà la belle excuse que j’ai trouvée lorsque Louis est apparu avec l’envie évidente de se joindre à nous. Son désir était affiché haut et fort. J’en avais la preuve sous les yeux. Des yeux qui ont fait semblant de ne pas voir que l’arrivée du mari de Nadia n’avait rien d’un hasard. Souvent lors de nos ébats, elle évoquait son mari, sa virilité, son inventivité, son expérience qui ne laissait jamais une invitée insensible à ses charmes particuliers.
    
    Dire que coucher avec un homme serait cocufier mon mari alors qu’une femme me faisait bien pire. Quelle mauvaise foi ! Plutôt un reste de lucidité avant de devenir vraiment une épouse qui bafoue le lien sacré du mariage dans des conditions bien pires qu’une simple coucherie.
    
    Mais les cris venant du toboggan ont ressurgi. Ils ont été suggérés par l’idée de Nadia, idée que Louis s’est empressé de mettre en forme :
    
    Impliquer mon mari à son insu et lui distiller, dimanche après dimanche, la vision de nos voisins dans des démonstrations « sportives » qui devaient lui donner envie.
    
    Par moments, j’avais honte de le laisser manipuler par le couple, d’autant que chaque fois, je devais leur relater ses réactions. On était trois contre un. Mais la ...
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