1. Retour à l'improviste (1)


    Datte: 13/02/2022, Catégories: Hétéro Auteur: JVincent, Source: Xstory

    ... accentue sa poussée et mon trou du cul finit par s’ouvrir, laissant pénétrer trop vite son gland et une bonne partie de sa bite en occasionnant par la même une douleur aiguë qui me fait sursauter.
    
    Cette pénétration brutale dépasse le cadre de la punition prévue et je tente de l’expulser hors de moi en avançant mon bassin, en tentant de le repousser de mes mains, abandonnant par la même la position imposée. Mais, toujours solidement cramponné à mes hanches, il accompagne le mouvement et me plaque contre la porte froide, en faisant ainsi échouer ma tentative. Je ne peux pas aller plus loin... Il s’immobilise, tout son corps plaqué contre le mien, silencieux, en attendant que je me détende.
    
    Comprenant qu’il n’a pas l’intention de se retirer et ne souhaitant pas prononcer le mot de sécurité qui mettrait fin à la séance, je respire profondément plusieurs fois et me détends progressivement. Forte de mon expérience en matière de sodomie avec lui, je m’habitue à cette présence envahissante et, comme d’habitude, la douleur s’estompe peu à peu pour laisser la place à des sensations plus agréables. Il s’en rend compte et en profite pour reprendre sa progression d’un lent, mais puissant mouvement de bassin.
    
    Fort de la rigidité extrême de sa bite, V arrive à me pénétrer aussi loin que ...
    ... possible. Il me demande d’écarter les fesses de mes 2 mains pour me posséder encore plus totalement. Je m’exécute de mauvaise grâce et je sens sa bite s’enfoncer encore un peu plus profondément dans mon rectum. Après un temps d’arrêt, il entreprend un lent va-et-vient. La lubrification insuffisante rend le mouvement limite désagréable pour moi, mais probablement très stimulant pour lui.
    
    Son rythme et sa respiration s’accélèrent. J’ai reposé mes mains sur la porte et je sens son souffle chaud sur ma nuque. Son étreinte s’intensifie. Je sens qu’il va jouir. Ses mains libèrent mes hanches et m’enlacent. Il me serre fort, très fort, trop fort. J’en ai le souffle coupé. Aux pulsations de sa bite qui dilatent un peu plus mon anus et à son gémissement plaintif, je sais qu’il jouit.
    
    Après quelques courtes secondes, il se détend, me serrant désormais tendrement dans ses bras et en m’embrassant dans le cou. Mais il reste encore en moi. Je sens sa bite débander très lentement dans mon cul. Je ne bouge pas. J’apprécie ce moment malgré ce rapport inhabituellement brutal.
    
    — Je t’aime, me murmure-t-il enfin dans le creux de l’oreille. "Je t’aime" lui répondis-je en souriant, yeux fermés, pour savourer cet instant de curieuse intimité.
    
    Je n’ai toujours pas vu son visage depuis que je suis rentrée. 
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