Dressage d'une collègue (1)
Datte: 13/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Eric989, Source: Xstory
... dégage un sein, un beau globe laiteux généreux et au téton déjà bien durs et proéminent que je mordille sans ménagement.
Je l’entends gémir des « non, non « mais quand je prends sa main pour la poser sur ma braguette, elle se saisit sans rechigner de mon sexe à travers le tissu. La voiture est remplie de ses halètements et mes doigts lui déclenchent un orgasme violent, elle gémit fort et ses cuisses se referment sur ma main, trempée.
Je relâche mes caresses, me disant qu’il ne faut pas la brusquer comme ça, dehors, je pense que je vais pouvoir faire plein de choses avec elle, mais avec du temps, en lui faisant franchir les étapes une par une. Je redémarre pendant qu’elle se rajuste et le trajet jusqu’à l’hôtel se déroule sans un mot, elle me semble même un peu honteuse, tant mieux... Nous prenons nos clefs, sa chambre est avant la mienne et elle ouvre sa porte. Sans lui laisser le temps de réfléchir, je rentre avec elle, ferme la porte avec mon pied et la plaque contre le mur. Ma langue envahit sa bouche et la sienne lui répond, mes mains ont déjà baissé sa petite culotte et une de mes mains est plaquée sur sa chatte toujours humide. Elle est prête, je l’entraîne et la pousse sur le grand lit, elle y tombe sur le ventre et je la dénude complètement, elle gémit et on dirait qu’elle attend que j’aille plus loin, je crois que j’en ferai une bonne esclave sexuelle si je sais y faire.
Quelques tapes sur les fesses et je la retourne, je lui lèche les seins, ils sont ...
... sublimes et je sens que cette caresse lui retire toute inhibition. Je poursuis le travail de ma langue jusqu’à sa petite chatte de blonde que je bouffe à fond, elle se cabre de plaisir et gémit de plus en plus, les voisins vont apprécier... Quand je la sens prête, m’étant mis nu, je me couche sur elle et la pénètre, elle a un grand cri et une énorme aspiration, à mon avis, elle n’a jamais dû être baisée par un gros sexe en ayant eu des préliminaires.
Je lui envoie de vigoureux coups de reins tout en étouffant ses cris avec ma langue et en tirant sur les tétins, au bout d’un moment, ses hanches m’accompagnent. Au moment où je sens le plaisir monter de mes reins, je vois ses yeux se fermer et elle a un énorme orgasme, je suis presque désarçonné, mais je lui remplis quand même abondamment la chatte d’une énorme quantité de sperme brûlant.
Elle gît sur le lit, les yeux fermés, impudique, elle n’a même pas la force de refermer ses belles cuisses et je vois mon jus dégouliner de sa chatte que j’ai bien malmenée et descendre dans la raie de ses fesses.
Je me dis que pour une première fois, il faut y aller doucement, mais je crois bien maintenant que je vais l’emmener loin ; elle ne se doute pas de ma perversité et du plaisir que j’ai à faire des femmes des objets de plaisir dociles. Je me rhabille et la laisse se remettre, satisfait de cette soirée prometteuse. Je verrai demain si je peux pousser un peu le vice, car elle me semble docile, mais pas expérimentée, le sujet idéal... ...