Une autre vie commence. (7)
Datte: 12/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Faunus, Source: Xstory
... Maintenant, le contact de la langue sur son sexe le faisait frémir et gémir.
- Hum ! J’adore boire ton lait. Peut-être que la prochaine fois je trairai ton oiseau. Ha ha ha ha ! J’adore cette idée.
- Petite sorcière, je t’aime, je voulais boire ton miel.
- Désolée, mon petit cœur, à partir d’aujourd’hui c’est indisponible. Tu sais combien les filles sont des emmerdeuses. Je ne déroge pas à la règle.
Charles se dit qu’il avait certainement raté un épisode, tant pis, il allait devoir faire avec. En riant d’une poussée sur le côté, elle venait de le renverser. Assise en tailleur sur le lit, elle le regardait en souriant. Il répondit au sourire en déposant un baiser sur les lèvres de sa nouvelle copine. Cette idée de nouvelle amoureuse lui plaisait même s’il savait qu’il ne s’agissait que d’une période transitoire.
- Ne t’inquiète pas mon chéri, je serais bientôt entièrement à toi.
- Je ne suis pas inquiet, il y a des choses qui m’étaient sorties de l’esprit.
- Hé ! Cela ne nous empêche pas de faire tout un tas de cochonneries.
- Ha ha ha ! Oui, je sais, tu m’as encore fait un truc que je ne connaissais pas. Tu es une diablesse. Je crois que je vais devoir réchauffer les croissants.
- Oui, ta prostate est très sensible. Allons-y, j’ai une faim de loup.
- Je m’en suis rendu compte, j’ai senti tes dents sur mon oiseau. Je dois dire qu’il était bien mou.
- C’est pour cela que j’ai failli le croquer, heureusement pour toi, tu m’as donné tout ton ...
... lait. Miam !
La collation qui s’en suivit leur permit de se restaurer tout en échangeant des mots tendres. Charles n’en revenait pas que cette rencontre lui apportait autant de fraîcheur et de plaisir. Avec Josiane, les choses lui paraissaient simples, très simples et sans ambiguïté. Elle lui souriait en permanence, cela le détendait et l’incitait à sourire. Quelques semaines auparavant s’il avait senti le moindre désir d’une union plus officielle il aurait pris la poudre d’escampette. Elle était assise en face de lui, il avait tout le loisir de la regarder et d’apprécier cette belle poitrine bien ferme.
- Hé ! Coquin, c’est la vue de mes nichons qui te donne ce sourire. Ils ne sont pas extraordinaires.
- Hein ? Euh ! ... pas uniquement, c’est aussi le fait d’être avec toi, tu es tellement belle et gentille.
- Ha ha ha ! Petit baratineur, je dois avouer que tu es aussi pas mal dans ton genre.
- Oups ! Tu me fais vraiment perdre la tête.
- Pourquoi me dis-tu ça ? Mon chéri, en dehors d’être à poil, je n’ai rien fait de particulier.
- Je dois me rendre au commissariat pour déposer plainte et ensuite faire transporter la voiture chez le carrossier.
- Je t’accompagne !
Cela ne se discutait pas, il ne s’en étonna pas le moins du monde et d’un certain côté cela lui faisait plaisir. Moins d’une demi-heure plus tard, ils franchirent la porte de l’immeuble. Ce fut l’occasion pour Charles de faire une découverte désagréable ; sa Jaguar n’était plus là.
- Ha ça ...