Une mère pas comme les autres... (6)
Datte: 12/02/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: AlexisPC, Source: Xstory
En m’éveillant le matin, j’avais l’impression de n’avoir fermé l’œil que quelques secondes.
Anaïs dormait, dos à moi, et sa respiration était lente et calme. Sa poitrine se levait en rythme régulier, ne laissant pas présager d’un réveil rapide.
Je me levais lentement, sans bruit afin de ne pas réveiller ma belle au bois dormant et me dirigeait vers sa petite salle de bain.
Dans ma douche, je réfléchis à nouveau aux circonstances de notre soirée, en partant des dernières révélations, puis de la demande incongrue de ma mère et enfin de notre nuit de sexe torride.
Ces souvenirs me donnèrent le sourire et une érection monumentale.
Anaïs avait joué de tous ses charmes et son excitation n’avait eu d’égal que sa gourmandise. Elle m’avait fait jouir plusieurs fois tandis que je lui rendais la pareille de plus en plus difficilement, tant elle m’avait envoyé dans mes derniers retranchements avant de demander grâce.
Puis je fis appel à ce souvenir moins amusant car probable vecteur de problèmes futurs.
Anaïs avait murmuré le prénom de ma mère dans un gémissement ne laissant pas la place à l’interprétation alors qu’elle n’était plus dans un état de réveil et son inconscient m’avait probablement aiguillé, involontairement, sur ses véritables motivations à rencontrer ma génitrice.
Curiosité ? Excitation ? Envie ? Désir ? J’hésitais entre ces différentes approches.
Je réfléchissais toujours au sens à donner à ce mot lorsque je me dirigeais vers sa cuisine pour ...
... y préparer un café fort. La journée s’annonçait difficile. Je voulais me rendre au boulot, malgré Alexandre et son ordre de solutionner mon problème, alors qu’Anaïs pouvait flâner encore quelques heures dans son lit. Elle était de garde cette nuit, exceptionnellement, à l’hôpital où elle effectuait ses derniers stages de formation. Sa copine, Bérénice, lui ayant demandé de la remplacer au pied levé. Une affaire de famille, paraît-il ! Mais je ne suis plus sûr de rien depuis hier.
Mon téléphone, resté sur la table de la cuisine, était allumé et clignotait, signe d’un ou plusieurs messages sur l’une de mes boîtes de réception.
J’y trouvait la réponse de ma mère à mon message lui annonçant que je passais la nuit chez Anaïs, afin qu’elle ne passe pas des heures à téléphoner aux différents commissariats de la ville ou à tous les hôpitaux.
[SMS]
> Maman, maintenant que tu connais son existence, je passe la nuit avec
ma copine. Ne m’attends pas. À demain !
Mon message était un peu froid, je vous l’accorde. Mais il reflétait assez bien mon état d’esprit à l’instant où je l’avais envoyé.
Maintenant, j’étais presque paniqué d’avoir cédé à ma mère et d’en avoir parlé à Anaïs.
Pourquoi les femmes ont-elles donc autant de secrets qu’elles ne veulent pas partager avec celui qu’elles présentent comme l’homme de leur vie alors que leurs copines, dont elles devraient pourtant se méfier comme de la peste, sont de suite au courant de ce qui nous taraude? C’est l’un des ...