1. Le confinement avec ma mère (1)


    Datte: 10/02/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Marcdruet, Source: Xstory

    ... nombreuses filles plutôt pas mal. Mais avec Estelle, c’est différent, je suis réellement amoureux et je pense que c’est réciproque, il y a une complicité qu’il n’y avait pas avec les autres filles pour lesquelles c’était juste physique. Avant de la rencontrer, je ne pouvais m’empêcher d’aborder et draguer les jolies filles que je croisais. Aujourd’hui, je n’ai d’yeux que pour Estelle, et ne suis plus attiré par les autres filles tellement Estelle me comble de bonheur. Malgré l’éloignement, nous nous appelons tous les jours, en audio ou en visio, et quand nous nous retrouvons, nous sommes soudés l’un à l’autre et faisons l’amour 2 fois par jour au minimum.
    
    Pour finir cette petite description de ma famille, ma sœur Sandra de 22 ans est partie il y a 2 ans au Québec avec son copain pour faire des études de commerce international.
    
    Je vis donc seul avec mère depuis que ma sœur est partie au Québec. Cependant, je vis de façon très indépendante de ma mère, je vis ma vie de mon côté avec un emploi du temps très chargé entre mes études, mes entraînements de natation 5 fois par semaine, et Estelle le week-end. C’est peut-être un comportement un peu égoïste avec le recul, mais c’est vrai que ma mère a toujours été aux petits soins pour moi (et pour ma sœur également quand elle vivait encore avec nous). Elle s’occupe de tout à la maison : les courses, les repas, la lessive, le repassage ... Je l’aide de temps en temps pour les courses, mais pour le reste, j’avoue ne pas être trop ...
    ... actif. Ma mère ne s’est jamais plainte ni ne m’a jamais fait aucun reproche à ce sujet, je pense que cela lui faisait plaisir de me voir épanoui et heureux. Je peux dire que j’ai une mère exceptionnelle qui est prête à sacrifier sa vie juste pour le bonheur de ses enfants.
    
    L’annonce du confinement par le président le soir du 16 mars 2020 nous a donc consternés, ma mère et moi. Ma première pensée a été bien évidemment vers Estelle : nous ne nous étions pas vus le week-end du 14/15, et elle devait donc venir passer le week-end suivant chez moi (ou plutôt chez ma mère). Quinze jours de confinement : je ne pourrai donc pas la serrer dans mes bras avant le premier week-end d’avril ; c’était juste inconcevable pour moi : quatre semaines sans la voir, c’était bien la première fois depuis notre rencontre que nous étions séparés autant de temps. Et en plus, les quinze jours annoncés pouvaient être prolongés. Je ne sais pas quand je pourrai réellement serrer Estelle à nouveau dans mes bras, l’embrasser, lui faire l’amour et partager tous ces moments de bonheur.
    
    Une larme a commencé à couler le long de ma joue. Cela ne m’était pas arrivé depuis très longtemps, moi l’homme fort et musclé ne pouvais réprimer ce sentiment d’extrême tristesse qui s’emparait de moi. Même si aucun son de pleurnichement ne sortait, ma mère toujours attentive au bien-être de son fils adoré s’en aperçut tout de suite :
    
    — Oh mon chéri, tu penses à Estelle, c’est cela ?
    
    Ses yeux s’embuèrent également en ...
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