1. Confession d’une femme au foyer 01


    Datte: 09/02/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... juste prendre un café et discuter.
    
    - Je parie que tu as aimé l'attention qu'ils te portent. Suggérai-je.
    
    Ma femme se détendit un peu et me dit qu'elle était flattée de leurs sifflements approbateurs.
    
    - Comment en es-tu venue à parler avec eux? Demandai-je.
    
    - Quand j'étais dans le jardin en train d'étendre la lessive, un ouvrier m'a sifflé de la fenêtre de la maison d'à côté. Me dit-elle.
    
    Tout de suite, j'eus dans ma tête l'image de ma femme dans le jardin. Et une idée me vint. Les jupes courtes étaient à la mode et ma femme était parfois un peu négligente quand elle se baissait. Pas étonnant qu'ils sifflent.
    
    - As-tu montré ta culotte? Demandai-je.
    
    Elle fut choquée alors j'ajoutai :
    
    - Ce n'est pas grave, je ne vais pas me mettre en colère. L'idée que tu flirtes quand je suis au travail est assez excitante. Après tout, tu dois t'ennuyer maintenant que les filles sont à l'école.
    
    En vérité, dans ma tête la jalousie et la colère se mélangeaient. Elle m'avait menti. Pourtant, bien que je ne le comprenne pas vraiment, je fus aussi excité sexuellement. Elle me dit :
    
    - Eh bien je suppose que parfois ils ont vu ma culotte.
    
    - Tu veux dire que tu sais que tu l'as montré?
    
    J'essayai de la rassurer et je lui dis que ce n'était pas grave. Elle était plus ouverte mais je sentais qu'elle cachait encore des choses.
    
    - Leur as-tu montré ta culotte intentionnellement? demandai-je.
    
    Elle acquiesça.
    
    - Raconte-moi!
    
    - Quand j'allais au jardin pour ...
    ... pendre le linge, je savais qu'ils regardaient par la fenêtre des maisons d'à côté. Alors je me penchais sur le panier à linge, plus que nécessaire pour que ma robe remonte. Parfois je m'étirais vers la corde à linge en sachant que mes robes courtes remontaient presque jusqu'à la taille. Je les entendais parler à voix basse.
    
    Ma bite durcit dans mon pantalon et mon cœur battit plus vite. Je lui dis :
    
    - Continue!
    
    Nerveuse, elle ajouta :
    
    - Les ouvriers commencèrent à venir dans le jardin voisin pour à côté de la clôture. Je pouvais les sentir me regarder. Je suppose qu'ils voulaient voir de plus près.
    
    - Et ils ont pu voir? Questionnai-je.
    
    Elle baissa les yeux, penaude, et acquiesça.
    
    - Donc ils regardaient par-dessus la clôture pendant que tu étendais le linge. Et tu te penchais exprès pour montrer ta culotte?
    
    - Oui... Admit-elle à contrecœur avant d'ajouter :
    
    - Je l'ai fait de façon que ça paraisse accidentelle.
    
    Essayant de rester calme, je lui demandai comment ils avaient commencé à venir chez nous.
    
    - Un jour, ils m'ont dit que l'eau était coupée dans la maison qu'ils rénovaient. Ils ne pouvaient pas prendre un verre. Alors je les ai invités à boire un café. C'était vraiment innocent. Puis ils vinrent souvent lors de leurs pauses café et nous bavardions.
    
    - Combien étaient-ils? Demandai-je.
    
    - Parfois trois, mais un travaillait dans une autre maison.
    
    - Laisse-moi m'imaginer ça! Dis-je.
    
    Puis je continuai :
    
    - Trois hommes à qui tu avais ...