-
Confinement passionné avec mes deux sœurs et mes parents (1)
Datte: 09/02/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: FireHorse, Source: Xstory
... d’architecture. La fin d’année scolaire avait été particulièrement compliquée pour elle, mais elle avait pu passer en seconde année de justesse. — Oh, on a aucune nouvelle pour le moment ! Silence radio ! — C’est pénible ça ! Internet existe depuis des décennies et les établissements sont pas foutus de se mettre aux normes ! C’est pareil à mon boulot ! Je suis quasiment l’un des seuls à télétravailler en ce moment ! Et toi, Bianca ? T’as plus de nouvelles que nous ? Ma sœur aînée termina son verre avant de répondre. Elle rejeta ses cheveux noirs en arrière avant de dire : — Pas vraiment ! Je n’arrête pas de relancer mon boss depuis plusieurs jours, mais il ne me répond pas ! Je vais finir par démissionner s’il reste aussi désinvolte face à la charge de travail imposée. Du haut de ses 23 ans, ma sœur Bianca était à la fois surdouée et canon. Elle avait eu son bac S à 17 ans seulement et avait enchaîné avec une prépa scientifique dans un lycée très bien côté. Elle avait eu haut la main les concours qu’elle désirait et avait pu entrer dans une excellente école d’ingénieur informatique (elle adorait l’informatique). Voilà maintenant un an qu’elle avait été diplômée et elle avait déjà trouvé un boulot plutôt bien payé sur la capitale en tant que développeuse d’intelligences artificielles pour l’industrie aéronautique. Elle savait entretenir son cerveau. Mais pour autant, elle ne délaissait pas son corps. Avant le confinement, elle allait régulièrement dans ...
... une salle de sport juste à côté de son boulot. C’était d’ailleurs là-bas qu’elle avait rencontré Yannis, un beau brun ténébreux aux muscles incroyablement saillants et aux neurones un peu sous-développés. Il permettait à ma sœur de décompresser après une dure journée de travail et l’appelait sa "panthère noire" à cause de sa fougue et de sa chevelure noire comme le jais. On aimait bien se moquer de ce sobriquet, Myrtille et moi. On n’hésitait pas à la surnommer "Suricate au poil soyeux" ou encore "Gazelle sauvage". Ça ne faisait pas vraiment plaisir à Bianca, mais elle nous ignorait simplement la plupart du temps quand on faisait cela. Alors que maman amenait le dessert, une crème anglaise, le téléphone de Bianca sonna. En temps normal, nous n’avions pas le droit d’avoir notre téléphone à table, mais les règles parentales s’étaient grandement ramollies depuis le début du confinement. — C’est Yannis, je vais dans ma chambre ! dit-elle simplement. Elle recula sa chaise et monta quatre à quatre les escaliers en bois. La porte de sa chambre claqua et on l’entendit s’affaler sur son lit. De mon côté, je terminai assez rapidement mon dessert afin de sortir de table le plus vite possible. Après la dernière cuillerée, je me levai brusquement et lançai : — Tu débarrasseras la table Myrtille ! Elle objecta quasi instantanément. — C’est ton tour ! Je l’ai fait hier ! Pas question que je le fasse à ta place, frérot ! Ma mère acquiesça et je dus à contrecœur ...