L'admirateur secret (5)
Datte: 08/02/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Nkari, Source: Xstory
... désirs, je m’accorde ce loisir ; je ne fais rien de mal, après tout. Ses longues jambes, ses hanches appétissantes et cette poitrine ; elle est vraiment bien foutue, quand même !
Et voilà, maintenant je suis aussi dur que de la pierre. Par bonheur, dans ma position, elle ne peut rien soupçonner. Mais quand même, c’est inconfortable et douloureux. Il faut que je me calme. Je détourne les yeux pour ne plus nourrir mon excitation, sauf que les images restent gravées dans mon cerveau et se mettent d’elles-mêmes en mouvement. J’imagine ses mains serpenter le long de sa poitrine et se glisser sous son maillot de bain. Voilà qui n’arrange en rien ma situation. Bon, il ne me reste plus qu’à envisager la seule solution vraiment efficace pour faire passer une telle excitation : jouir !
Je me relève, me sers de ma serviette pour cacher mon entrejambe et préviens Maëlle que je compte allez me reposer dans la tente. Trop occupée par les pages qu’elle dévore, elle me répond à peine. Je me précipite dans la tente, me débarrasse de mon maillot de bain et plonge dans la sac de couchage. Ah, que c’est agréable de laisser son sexe s’étendre de tout son long !
Je laisse ma main descendre vers mon membre que j’empoigne avec douceur. Hum, il est si sensible, je ne devrais pas être long à venir. Essayons tout de même de prendre son temps. Quitte à se faire du bien, autant bien le faire. Je laisse mes mains naviguer sur mon torse, mon ventre, puis mes cuisses. C’est alors que quelques ...
... doigts s’aventurent près de ma toison. Oui, c’est agréable.
Il me faut un scénario. Une bonne branlette se passe aussi dans la tête. Un souvenir fera l’affaire ; un soir où ma femme semblait avoir le feu aux fesses, elle m’avait sauté dessus à mon retour du boulot et, après des préliminaires sur le canapé, j’avais fini par la prendre sur la table. Je la revois encore avec son sourire carnassier et ses yeux désireux. La table grinçait beaucoup. C’était une vieille table ; nous avons eu de la chance qu’elle ne cède pas.
Je la revois, là, allongée de tout son long, implorant que je la pénètre. Elle a crié de joie quand j’ai enfin accédé à sa requête. Et mes coups de boutoir ont commencé, d’abord de façon douce, puis de manière plus abrupte. Elle était ravie. Elle l’exprimait avec peu de subtilité et un vocabulaire assez fleuri. Oh, qu’elle était belle et excitante !
Oui, là, c’est parfait. Je retiens un soupir de bonheur tandis que mes doigts glissent le long de mon sexe. Je revois le sourire satisfait de ma femme et ses magnifiques yeux verts qui me fixaient... Bleus, les yeux : c’est Maëlle qui les a verts. Merde, je réalise que mon esprit a remplacé l’image de ma femme par celle de Maëlle sans que je m’en aperçoive. Je suis pris d’une pulsion de dégoût. Se branler sur sa fille, je suis tombé bien bas et semble m’y complaire !
J’essaie de me concentrer de nouveau sur ma femme, mais rien à faire : c’est Maëlle qui vient s’imposer dans mes fantasmes, qui me met le feu aux ...