Le monde d'une famille peu ordinaire (1)
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Paoyah, Source: Xstory
... pertinemment que ça arriverait, il s’adosse dans le font de son siège.
— Je vois, et ça t’a fait du bien ?
Je souris un peu plus, et cette fois, je prends un glaçon, le pose sur mon cou et le fait descendre jusqu’à la naissance de mes seins, pour le moment je ne vais pas plus loin. Mon père se mord la lèvre inférieure, alors que son jogging tressaute de plus en plus, sa bosse a l’air d’être magnifique, mais avec un jogging, on n’y voit rien, surtout qu’il doit avoir un boxer en dessous.
— Au début oui, mais maintenant... j’ai un peu de mal à me contrôler...
Et je le vois bien, mais je ne peux m’en empêcher, c’est plus fort que moi, j’ai envie, j’ai envie qu’il me touche, qu’il me prenne.
— Tu sais qu’entre membres de même famille, c’est tabou, qu’il faut une autorisation spécial... ?
Il dit ça comme s’il allait vraiment céder.
— Je sais papa...
Et là, le coup de grasse, je passe le glaçon pardessus mon débardeur et le passe sur mes tétons déjà bien durcis, laissant deux auréoles mouillées dessus, la transparence était encore plus apparente, il peut m’entendre gémir doucement. Mes yeux ne quittent pas l’écran, et je mords lascivement ma lèvre inférieure en voyant mon père enlever son jogging prétextant qu’il fait trop chaud, je vois sa bosse, elle est encore plus grosse qu’avec le pantalon.
— Regarde ma fille dans quel état tu me mets !
Caressant sa bosse du bout de son doigt, ce qui a pour effet de me donner comme une petite décharge ...
... électrique dans mon corps. Je gémis lascivement, et avant que mon glaçon fond, je commence à le lécher, puis, le laissant renter et sortir d’entre mes lèvres avec gourmandise, la bosse de mon père grossit encore à vu d’œil, et tressaute dans son boxer, il n’a presque plus de place.
— Et toi, regarde dans quel état je suis... Après tout, tu es mon père...
Mon père se lèche les lèvres en même temps qu’il me voit justement lécher le glaçon avant de le mettre en bouche.
— Oui, je suis fier d’avoir pu faire une fille aussi parfaite que toi, ma chérie.
Cette fois, il se caresse la bosse avec sa main, le plus lentement possible, alors que moi, je commence à pincer mes tétons, laissant un petit gémissement sortir d’entre mes lèvres pleines.
— Je veux que tu reviennes à la maison...
Ma voix est suppliante, lascive, et gémissante, alors que mes mains caressent maintenant mon corps, une main sur un de mes seins, où je joue justement avec mes tétons, en les pinçant et en les tirant et de l’autre, je commence à la descendre le plus doucement possible vers mon short
— Il ne faut pas, Yuko... il ne faut pas...
Pourtant son corps dit le contraire, et c’est d’une voix chaude et vibrante que je lui réponds :
— Mais pourtant, ton corps dit autre chose, regarde l’effet que je te fais, tu te caresses ta belle bosse de ta main... je sais que tu as envie de me prendre...
Oui, là, je commence à être un peu plus cochonne...
La suite bientôt, si vous aimez.