Souvenirs érotiques d'une femme mûre (1)
Datte: 02/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Lenny67, Source: Xstory
J’allais sortir avec mon mari, chez des amis, après le travail. On devait se rejoindre près de chez eux pour l’apéro, mais comme j’avais fini tôt, j’avais décidé d’aller à sa rencontre, au tennis. J’y venais de temps en temps, j’aimais le voir jouer, le teint hâlé, les muscles saillants, et quand il revenait du court, il faisait toujours un détour pour venir m’embrasser. Je crois que je rougissais chaque fois de fierté et de désir.
Ce jour-là, il devait finir vers six heures et demie, j’y suis donc allée vers six heures. En arrivant, je fus un peu déconcertée : je croyais le trouver facilement, en scrutant la douzaine de courts. Comme je ne le voyais nulle part, je me dis que peut-être son match était déjà fini, et que je le retrouverais vers les vestiaires. Je pris donc position la sortie des vestiaires, assise sur un banc. Par petits groupes, de nombreux hommes passèrent devant moi : ceux qui allaient se changer, élégants dans leurs habits de ville, encore accrochés à leurs portables ; ceux qui sortaient des douches, les cheveux encore humides, déjà la tête dans l’agenda ; et ceux qui revenaient des courts, tout en sueur, avec leurs dégaines de conquérants et leurs échanges de blagues d’adolescents. Il y en avait des jeunes et des moins jeunes, et plusieurs beaux hommes comme je les aime : grands, sportifs, bruns grisonnants, au regard franc, au port assuré.
Je prenais goût à ce défilé, d’autant plus que beaucoup me regardaient plus ou moins discrètement, l’œil ...
... attiré, ma tenue de sortie : chemisier rouge, jupe noire fendue), escarpins rouges. Je crois qu’avec ma position jambes croisées, ma jupe était remontée sur mes cuisses et qu’ils devinaient le haut de mes bas-up. Il y eut des regards échangés, quelques sourires. Je me sentais bien, attrayante, sexy, ainsi je ne vis pas passer le temps, mais me rappelai soudain le but de ma visite. Je hélai un petit groupe de sportifs dont l’âge pouvait correspondre à celui de mon mari, et leur demandai s’ils l’avaient vu. Ils n’étaient pas sûrs ; l’un croyait l’avoir vu partir, l’autre pensait qu’il devait être sous la douche. Ils m’invitèrent à y venir voir avec eux. Je les suivis, scrutant les vestiaires. Ils m’indiquèrent le numéro 4 comme étant le plus vraisemblable. J’y entrai, il n’y avait personne au demeurant, mais des affaires de toutes sortes qui traînaient. Ne sachant que faire, je me dis que je lui ferais la surprise et je m’asseyais sur un banc.
Je restai seule un petit moment, puis soudain les portes des douches s’ouvrirent, laissant passer d’un coup cinq ou six hommes, tous nus. Je me levai précipitamment et fis un mouvement vers la sortie, en titubant, et je butai contre un corps. L’homme me saisit par la taille pour m’empêcher de tomber. Je sentis le parfum de son gel douche et l’odeur de sa peau avant de me détacher. Il était tout mouillé et, comme je m’étais pratiquement collée à lui en me tournant, son humidité s’était transmise à mes vêtements, mon chemisier était devenu ...