1. Confession d’une femme au foyer 02


    Datte: 02/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... Plaidai-je.
    
    Elle poursuivit alors son récit :
    
    - Ça avait en quelque sorte brisé la glace. Le lendemain, ils dirent qu'ils espéraient que je ne sois pas fâchée tout en riant et en tirant sur ma jupe.
    
    Je secouai la tête. Elle dit soudainement :
    
    - Tu vois ta réaction. Es-tu sûr que ça ne va pas causer de problème et que tu ne vas pas me le reprocher?
    
    - Non, je veux juste connaître la vérité. Je t'ai dit, ça m'excite d'entendre ça. Répondis-je.
    
    Je me rapprochai d'elle et je posai ma main sur sa poitrine pour caresser un téton en disant :
    
    - Continue!
    
    - Je leur ai offert un verre et l'atmosphère changea. Quand je suis passée devant l'homme qui m'avait embrassée, il me tira sur son genou. Il me dit que je travaillais trop et que je devais m'asseoir. La conversation resta normale et désinvolte. Mais ma jupe s'était relevée quand je m'étais assise, et pour garder mon équilibre, il avait fallu que j'écarte les jambes alors que je me trouvais face aux deux autres hommes. Celui sur lequel j'étais assis me dit que ses amis avaient une belle vue. Je hochai la tête. Il commença à m'embrasser et sa main est allée où est la tienne.
    
    - Il a joué avec tes seins?
    
    - Oui. Répondit-elle en soufflant.
    
    - Et ses amis ont regardé? Et tu as gardé les jambes ouvertes?
    
    - Oui.
    
    - Et tu étais excitée et tu les as laissé aller plus loin?
    
    - Oh mon Dieu, qu'ai-je fait? Dit-elle.
    
    - L'as-tu fait?
    
    - Oui... Je suis désolée. Sanglota-t-elle.
    
    - Continue à me ...
    ... raconter. Dis-je sur un ton autoritaire.
    
    - L'un des autres hommes s'est levé et a dit : « Ai-je droit à un baiser aussi? ». Tout en restant assise sur le genou du premier homme qui continuait à jouer avec mes seins, je laissai l'autre m'embrasser. Tous les deux tripotèrent mes seins et m'embrassèrent pendant un moment. Puis ils ont dit qu'il était juste de laisser un tour à leur ami. Alors ils m'ont emmené vers lui et ils ont relevé ma jupe. Au lieu de m'asseoir sur le côté de ses genoux, ils ont écarté mes jambes et j'ai dû le chevaucher. Je pouvais sentir sa bite bien raide sous son pantalon. Il m'embrassa et les autres tinrent ma jupe relevée pour toucher mes fesses. Ils ont tous tripoté mes seins. Je ne pouvais m'empêcher de me tortiller alors que sa queue se pressait contre moi.
    
    - Est-ce qu'ils ont sorti tes seins ou enlevé ton haut? demandai-je.
    
    - Non, je ne les ai pas laissés aller plus loin.
    
    - Ce n'est pas vrai, n'est-ce pas? Accusai-je.
    
    Elle admit :
    
    - Non. D'accord ce n'est pas vrai. Mais ils ne l'ont pas fait cette fois-là.
    
    Entendre ma femme utiliser des mots comme « seins », « bite » ou « queue » était nouveau pour moi. Comme je l'ai dit plus tôt, elle était très timide. Pour elle, c'était un langage grossier. Mon membre avait glissé en elle et je commençai à la baiser lentement.
    
    - Est-ce que d'en parler t'a excité? Demandai-je.
    
    - Un peu. Répondit-elle en commençant à bouger.
    
    Puis elle murmura :
    
    - Penser à ces bites m'a excitée.
    
    - As-tu ...