La rencontre - Histoires de Sexe

La rencontre

Au volant de mon 4x4 garé sur le port d’Ambonne, j’ai une vue sur la villa de ce garçon que j’ai repéré il y a quelques jours sur la plage. Il ne doit pas être majeur depuis longtemps ; un corps d’éphèbe, blond intense, totalement imberbe, silhouette longue et mince et déjà bien bronzé comme j’aime. Une beauté fracassante à réveiller les ardeurs du vieil homo dans la soixantaine que je suis parfois à mes heures. J’ai déjà mené ma petite enquête sur lui : il va au lycée et vit seul avec sa mère dans cette petite villa duplex à Port Vénus. Sa mère… une splendide blonde hyper sexy que je viens de voir partir au travail dans son tailleur ajusté. Je décide de patienter : j’ai tout mon temps car je sais qu’il ira à la plage, vu le soleil qui inonde ce matin le Cap d’Agde.

Je regarde l’heure à ma montre : 10 h 03. Qu’est ce qu’il fout ? Elle devrait déjà être sortie, cette petite pute ! Hier je l’ai vu dans ce short incroyable, au ras des fesses, sans rien dessous, c’était évident. Un véritable appel au viol ! Je n’en ai pas dormi de la nuit. D’où ma présence ce matin devant son domicile. Ce garçon, il me le faut. Heureusement, en ce début de mois de juin, la grande foule des touristes n’a pas encore envahi le Cap d’Agde. Personne en tout cas pour remarquer ma présence depuis presque une heure, ici dans ma voiture, à épier cette petite villa face à moi. J’hésite à sortir et à me rapprocher pour regarder ce qu’il fout. Finalement je décide, par prudence, de ne pas trop me faire ...

... remarquer. Il fait très mineur encore ; pas la peine de s’exposer trop avec.

Ça y est, il est enfin sorti. Oh putain, la tenue ! Là c’est sûr, cette petite salope veut se faire draguer. Ce n’est pas possible autrement. Je le regarde passer derrière moi en trottinant sur d’incroyables bottes de fille, roses en plus. C’est dingue, mais il n’est pas du tout ridicule avec ça, bien au contraire. Comme elles sont un peu larges sur ses mollets, ça affine encore un peu plus ses longues jambes fuselées. Je le laisse prendre un peu de distance et décide de le suivre.

Je le vois se diriger vers le petit centre commercial sous les arcades. Je veille à rester discret car je croise quelques habitants qui semblent bien connaître ma jeune proie. Il ne s’agit surtout pas de me faire remarquer. J’attends qu’il soit entré dans la supérette pour y entrer aussi. Je saisis comme lui un panier, pour donner le change. Je le retrouve assez facilement car il ne passe vraiment pas inaperçu dans sa tenue de pute. Je profite que le rayon soit vide pour m’approcher et me tenir face à lui. Il ne semble pas m’avoir remarqué, trop occupé à se choisir un concombre.

— Bonjour. J’ai remarqué que tu plais pas mal, petit.
— Oui, je comprends tout à fait. Je suis sûr que tôt ou tard tu trouveras l’ami, l’homme qui te comprendra et t’aimera tel que tu es.

Je mate délibérément son cul, vraiment terriblement excitant, serré dans ce short hyper limite. Je continue, en m’intéressant à ce qu’il tient dans la ...