1. Aaah ca va mieux


    Datte: 11/08/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Akileditu, Source: Hds

    ... de gel, enduis sa bite, mon trou et me présente à son pieu. Je sens son gland qui cherche le passage. De tous petits allers et retours, de petites rotations, ça y est, il est dedans. Savourons la descente sur son barreau. Tout doux, très progressivement, avec beaucoup de petits retraits car je m’aperçois que son membre est vraiment épais. C’est bon de contrôler ses sensations sur ce coup là. Je sens sa bite plus que bien. Il avait bien raison de vouloir me dilater le plus possible. Sa bite, c’est un sacré pieu ! Et dure comme l’acier, avec ça. Je la sens qui me pénètre, au gré de ma descente. Parfois, pour ressentir le vide, je remonte exprès mais pas complètement. Il me laisse faire. Il me laisse contrôler mes sensations. Ca y est. Je sens sa touffe qui me chatouille le dessous des couilles. Il est complètement en moi. Je commence lentement mes montées et mes descentes. Il a empoigné mes hanches et m’aide tout en imprimant une certaine cadence. On entend maintenant le coulissement de sa bite et ses petits chuintements. J’adore cette position aussi. Tout à l’heure, je lui demanderai qu’il m’accorde ma préférée. Et dire que, depuis le début, on aurait pu conclure chaque séance ainsi ! Il m’a demandé de me relever légèrement et, maintenant, c’est lui qui me trombonne par en dessous. Je le sens très vigoureux. Ca promet. Comme je viens de remarquer un espalier contre le mur, je ne peux attendre davantage. Je lui propose ma variante préférée. J’accroche mes bras à l’échelon du ...
    ... haut et je me suspends, en écartant les cuisses. Il a compris et vient se placer face à moi. Je m’empale doucement sur sa tige. Je commence alors mes tractions pour coulisser sur sa bite. Trop trop bon. Parfois, n’y tenant plus, il me soulève brusquement de toute la force de son pieu. Wouaaah ! Je finis quand même par enlacer sa taille avec mes jambes et m’accrocher à son cou. Il se déchaîne alors, me gratifiant de furieux coups de reins et de bite en poussant des cris rauques. Ouaiis ! J’ai même cru qu’il allait jouir ainsi. C’était mal le connaître. Il me demande alors de m’allonger à nouveau sur la table, sur le dos, les fesses au bord. Il règle la hauteur pour que mon trou soit exactement à la hauteur de sa bite. Il prend mes jambes, les écarte, les pose sur ses épaules et me perce d’un seul coup de bite.
    
    Cette fois, on dirait qu’il a décidé de mettre le paquet. Ses va et vient se font puissants, sa cadence s’accélère. J’ai plongé mes yeux dans les siens et je ne le lâche plus. J’ai lu une fois quelque part que se regarder dans les yeux en faisant l’amour était le plus puissant des aphrodisiaques. Je crois que c’est brai. En tous ca, j’applique. Son regard brille de désir. Il me ramone ainsi pendant un sacré bout de temps – je ne vais pas m’en plaindre-. Je crois deviner que ce n’est pas ainsi qu’il veut jouir.
    
    Gagné !
    
    Il me demande de m’allonger sur le dos sur le tapis mousse. Il glisse un demi ballon « pilate » sous mes reins, écarte les cuisses et vient me ...
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