1. Sa meilleure amie (1)


    Datte: 01/02/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Berdouille, Source: Xstory

    ... parcourus, et après avoir laborieusement trouvé une place de parking, nous partîmes aussitôt à l’assaut de la capitale des Flandres. Pendant notre promenade, elles firent allusion à l’incident survenu pendant le trajet, et plaisantaient sans arrêt à mes dépens. Mégane mima même une fellation avec sa glace. A défaut de trouver ça drôle, je trouvais l’image excitante. Je pressentais que cette histoire allait me poursuivre encore longtemps, mais je doutais que Grégoire en entende parler. Et heureusement, car bien qu’ouvert d’esprit lui aussi, il risquait de mal le prendre.
    
    Au bout de quelques heures, notre escapade lilloise devint un peu trop axée sur le shopping à mon goût, ce que je ne manquai pas de faire remarquer aux filles. L’une ou l’autre avait toujours quelque chose à me rétorquer pour justifier la visite d’une dernière boutique. Ça n’en finissait pas, et par cette chaleur, j’étais impatient de pouvoir siroter une bière bien fraîche en terrasse.
    
    Pour me consoler, je ne me privais pas d’admirer leurs deux paires de fesses et de les comparer entre ...
    ... elles. Le fessier d’Annabelle était certes moins volumineux que celui de Mégane, mais je le préférais malgré tout.
    
    — Encore une dernière boutique et après on se pose. Annonça Mégane en jetant un coup d’œil vers moi.
    
    Je relevai aussitôt les yeux, sans chercher à cacher que je matais son cul avec insistance l’instant précédent. Grillé pour grillé, autant assumer.
    
    — Oui, et ton cul c’est du poulet ? Vous ne vous arrêterez pas avant d’avoir visité tous les magasins de la ville !
    
    Elle fit mine de tâter ses propres fesses, avant d’agripper celles d’Annabelle tout en s’exclamant:
    
    — Peut-être bien que mon cul c’est du poulet, mais ça c’est de la dinde bien tendre !
    
    — Hum... il faut que je tâte tout ça pour m’en assurer !
    
    Sans leur laisser le temps d’intervenir, mes mains s’avancèrent vers leurs deux postérieurs afin de les palper sans ménagement.
    
    Annabelle avait déclenché le feu en moi durant l’aller, et elles m’avaient toutes les deux bien chauffé durant le reste de l’après-midi. Je comptais bien souffler sur les braises pour les allumer à mon tour. 
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