1. L'admirateur secret (24)


    Datte: 01/02/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Nkari, Source: Xstory

    ... comprends-je. Je suppose qu’il a découvert que tu le trompais.
    
    — Même pas ! Il s’est entiché d’une de ses étudiantes et me quitte pour une gamine d’à peine vingt ans. Je ne sais pas ce que vous avez vous autres à préférer des gamines à des femmes mûres. Ce n’est pas juste, on a l’impression de vivre avec une date de péremption : « À consommer avant quarante ans, voire même trente ans. » C’est vraiment n’importe quoi !
    
    Je ne réponds pas, plutôt mal à l’aise. Toutes les autres femmes avec qui j’ai eu des rapports cette année ont moins de vingt ans ; il vaut mieux que je ne la ramène pas trop sur ce sujet.
    
    — Pour me venger, continue-t-elle, je lui ai balancé à la gueule que je l’avais trompé plusieurs fois. Et tu sais quoi ? Il n’en a rien eu à foutre ! Tu vois, moi, je l’ai trompé, mais dans mon cœur je lui suis restée fidèle. Je l’ai toujours aimé. Mais lui, c’est comme si je n’existais plus pour lui.
    
    — Je comprends, et je suis vraiment désolé pour toi. Si tu veux reprendre quelques jours pour te reposer ou réfléchir, tu le dis, on peut s’arranger. C’est plutôt calme en ce moment.
    
    — Non merci, je crois que je suis tout aussi bien ici ; ça me distrait un peu de mes problèmes. Désolée, je vais faire plus d’efforts pour être plus efficace.
    
    — Bah, comme je te l’ai dit, c’est plutôt calme en ce moment. Ne te mets pas trop la pression. Vas-y à ton rythme.
    
    — OK, merci beaucoup, Adam. Tu vois, je crois que ça m’a fait déjà du bien de t’en avoir parlé. Je devais ...
    ... vider mon sac, je crois. Merci, je retourne bosser.
    
    — Tant mieux. Si u as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas à venir m’en parler.
    
    Je me lève et l’accompagne à la porte que j’ouvre, mais avant de sortir elle se tourne vers moi avec une lueur étrange dans le regard.
    
    — Adam, tu es vraiment un patron en or. Je suis heureuse de travailler pour toi.
    
    Elle repousse la porte du pied et tend ses lèvres vers moi pour m’embrasser. Son baiser n’est pas fougueux comme d’habitude ; il est plus tendre et doux. Ses doigts commencent à défaire les boutons de ma chemise. Je l’arrête.
    
    — Es-tu sûre que c’est ce que tu veux ?
    
    — Oui, je crois que j’ai besoin de me sentir femme. Fais-moi l’amour, Adam, je t’en supplie…
    
    Je verrouille, l’embrasse et la fais asseoir sur mon bureau. En quelques mouvements nous sommes torse nu. Je m’agenouille, lui enlève sa culotte et lui écarte en grand les jambes. J’ai envie de lui faire vraiment plaisir, de ne chercher que le sien. Sa détresse m’a touché, je crois, et je veux qu’elle se sente mieux. Alors mon visage plonge dans son entrejambe. Valérie soupire quand ma langue atteint son clitoris. Une main atterrit sur ma tête et me caresse la chevelure. Ma bouche embrasse ses lèvres intimes. Mes doigts explorent sa grotte. Je suis déjà en terrain conquis, je sais comment la faire réagir. Je m’applique et déguste ses sucs. Valérie se détend et se laisse aller.
    
    — Oh oui, c’est bon ! Fais-moi l’amour maintenant !
    
    Je me relève, défais ma ...