La face cachée de ma cousine (8) - Histoires de Sexe

La face cachée de ma cousine (8)

... c’est trop tôt pour jouir maintenant.

— Je sais, mais je n’arrive pas à me concentrer, j’ai besoin de jouir.

— Il faut que tu te contrôles ! Si tu n’arrives pas à te concentrer, viens sous la table et fais-moi un cunni pendant que je lis mon cours. Ne te masturbe pas, tes deux mains doivent être soit apparentes, soit me toucher.

Je finis par enlever le t-shirt pour être complètement nue. Paul se mit sous la table, à genoux devant moi. La sensation de sa langue sur mon vagin me déclencha beaucoup de plaisir.

— Donne-moi ton stylo, me demanda-t-il.

Je lui tendis et rapidement, je le sentis se glisser dans ma vulve. Il me pénétra ensuite avec deux doigts, puis trois, puis quatre et finit par introduire l’ensemble de sa main. Ses gestes prirent de plus en plus d’assurance et mon orgasme se déclencha quelques minutes plus tard. Le plaisir de cette sensation était si délicieux !

— Tu as joui, à mon tour, dit-il.

— Non, c’est trop facile. Tu ne penses qu’à jouir, moi je veux m’amuser aujourd’hui. Il est 11 heures. Dans une heure, tu pourras jouir. Mais un conseil, si tu es trop excité, tu risques de jouir trop vite et ne pas pouvoir profiter de la situation, lui répondis- je avec clin d’œil.

Paul fut déçu et frustré. Il partit dans ma ...

... chambre pour oublier son érection.

Son absence me permit d’avancer dans mon travail. Je regardai mon stylo différemment. Il m’avait procuré du plaisir et maintenant il m’aidait à réviser. Je le pris en bouche pour sucer ma cyprine encore présente sur le manche. C’était délicieux. Je me sentais comme une nymphomane. Je sentais un besoin sexuel quotidien. Aujourd’hui, cette sensation était à son apogée.

La quantité d’eau que j’ai bue commença à faire ses effets. J’étais partie aux toilettes faire pipi lorsque Paul profita de cet instant pour rentrer. Je restai sur la cuvette des toilettes en écartant doucement les jambes, sachant ce qu’il voulait faire. Il me regarda, vint vers moi et il présenta sa bite aux bords de mes lèvres. Je la pris de nouveau en bouche sans attendre sa demande. Sa bite était plus raide que d’habitude. Je ressentis de la peine pour sa souffrance, aussi je décidai de lui donner de l’aide. J’accélérai mes mouvements de tête, allant de plus en plus vite pour le faire jouir, mais Paul me stoppa. Il m’aida à me lever. Il me fit pencher en avant au-dessus du lavabo et il me sodomisa. Je pouvais ressentir sa frustration de ne pas avoir joui plus tôt. Il s’arrêta quelques minutes plus tard et il me demanda de le rejoindre dans la salle à manger.