1. Mais oui,c'était moi 4


    Datte: 11/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

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    Sur recommandation de mon gynécologue, Greg et moi avions dû ralentir, diminuer progressivement les relations sexuelles avec pénétration. La menace de provoquer un accouchement prématuré avait effrayé un mari âgé qui tenait absolument à avoir enfin un héritier. Effrayé peut-être, pas émasculé. Nous avons retrouvé des comportements de notre adolescence. Dans une revue spécialisée, mon mari avait déniché un article sur l'art de faire l'amour sans pénétration. En fait l'article inventait l'eau chaude ou le fil à couper le beurre.
    
    Par nécessité nous devions dire "stop à la pénétration". En premier en raison des dimensions de la verge de l'homme. Un mari moins bien monté n'aurait pas eu à entendre ce conseil. Combien de fois ai-je redit que je n'oubliais pas Jean. J'ai également affirmé que je n'étais pas "amoureuse" de Greg. Mais il m'avait soutenue quand j'allais mal, il m'avait ensuite épousée, il était le père de notre enfant à naître. Je lui devais donc respect , je devais remplir honnêtement les obligations qu'un homme peut attendre de sa femme, puisque j'avais accepté de devenir son épouse.
    
    Ne vous étonnez pas que nous ayons fait l'amour ! Lui m'aimait de tout son coeur. Je devais tirer les conséquences de notre mariage. L'union charnelle est une part importante du mariage, si elle n'en n'est pas sa seule expression. Il a fallu en réduire la fréquence. Il a aussi fallu savoir adopter des mouvements plus lents, plus doux. Greg a appris à dominer ses élans ...
    ... amoureux, à préparer délicatement mon sexe, à obtenir une lubrification suffisante pour me prendre sans dommages et surtout à me mener en douceur à la jouissance.
    
    Nous allions moins vite, moins fort et nous avons découvert que cette manière de partager nos sensations était merveilleuse. Nous prenions notre temps, nous laissions monter le désir et prolongions le plaisir.Chacun y trouvait son compte en face à face le plus souvent. Même dans la position de la cuillère, je ressentais un sentiment de protection fort agréable lors de l'envahissement lent de mon intimité.
    
    On peut également, autre découverte ou redécouverte, satisfaire sa libido autrement. Greg acceptait que je prenne son membre en main et que j'exerce, en allant et venant, des pressions variées sur sa tige épaisse. Quand je ne commençais pas assez tôt cette masturbation, il ne tardait pas à la réclamer. Je m'exécutais sans être rebutée, cela devint un jeu plaisant de partage qui finissait par un cunnilingus aussi fervent quand nous ne préférions pas plus une réciprocité parfaite dans un soixante neuf.
    
    Greg couché sur le dos accueillait sur son visage tout l'appareil de mon sexe, grandes lèvres enflées par l'afflux de sang, nymphes mouillées de cyprine, clitoris avide des caresses de sa langue. Ma bouche de son côté se refermait sur son gland, ou bien ma langue parcourait la verge en érection avant de se gaver de ses chairs jusqu'à l'inondation de mes amygdales.
    
    Quand mes sensations m'alertaient sur l'imminence ...
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