Douce libération (3)
Datte: 31/01/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Afingers, Source: Xstory
... l’impression d’une fournaise sur ma peau. Je tremble de tout mon corps et ferme les yeux. Presque instantanément, sa main revient caresser ma fesse doucement et je le sens s’agenouiller près de moi. Cette sensation est... divine. Ma fesse cuisante, sa main qui semble fraîche en comparaison, qui me caresse délicatement. Lorsqu’il reprend la parole c’est à mon oreille doucement :
— Excuse moi, j’ai un peu perdu le contrôle. Si tu veux on peut se donner un mot pour quand ça va trop loin pour toi ? Tu sais comme dans les films...
— Libération.
C’est sorti tout seul, comme un réflexe, j’en suis presque fier. Le ton de sa voix redevenu doux, sa prévenance me redonnent la confiance qui avait vacillé avant qu’il me fesse violemment. Fort de ce sentiment de protection revenu, la chaleur que je sens sur mon cul se transforme en une véritable bombe d’excitation qui explose en bas de mon ventre et je cambre mes fesses vers Oscar comme pour lui montrer le résultat de sa fessée. Je le sens toujours un peu gêné, mais il reprend son rôle.
— Eh bien ma toute petite je ne t’ai pas loupée ! Alors c’est décidé. Si tu n’es plus d’accord pour ce que je fais, tu n’as qu’à me demander de te libérer, simplement. Tu as compris ma première règles ?
Je fais oui de la tête, toujours à quatre pattes par terre, tremblotant. Sa main caresse ma fesse meurtrie, et il me souris.
— Tu avais envie de me toucher, hein ?
— O... oui, Oscar.
— Ma toute petite est une curieuse. Tu l’as ...
... aimé ?
— Il... il était tout chaud, et je pense, plus gros que le mien.
— Ca c’est certain. Qu’est-ce que tu avais envie de faire avec ?
Il pose la question en glissant distraitement, comme si de rien n’était, son index au contact de mon anus, entre mes deux fesses blanches. La sensation est divine. Je tourne la tête vers Oscar, tordant mon cou pour le voir. Il est au-dessus de moi, et du bout du doigt, il caresse mon petit trou, envoyant le long de mon dos de longues décharges électriques qui me transcendent. Il s’interrompt finalement, attendant une réponse. Une vague de chaleur vient empourprer mon visage, j’ai honte de ce que je m’apprête à répondre, pourtant je ne peux m’empêcher de le dire, je veux lui dire la vérité, m’en remettre totalement à Lui.
— J’ai envie de la mettre dans ma bouche...
Son sourire n’est pas moqueur, ou cruel, mais empli de tendresse envers moi et mes pulsions. Il sait que son contrôle sur moi est absolu, mais n’en joue pas. Il caresse mes cheveux d’un geste presque paternel, puis va s’asseoir dans le grand canapé qui fait face à la baie vitrée. Je le regarde, me tournant, assis par terre, le carrelage froid contre mes fesses nues, ne voulant pas me relever. Il me fais signe d’approcher, ce que fais fébrilement, le souffle court. Si nous avions des voisins, si quiconque faisait face à cette baie vitrée, il pourrait me voir marcher comme un petit chien, jusqu’au canapé où il se tient jambes écartées sur son sexe épais et dur, pour me placer ...