1. Une femme modèle


    Datte: 31/01/2022, Catégories: fh, inconnu, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, portrait, couple, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... déperdition d’eau. Les plantes ont l’air d’aimer ça, la production est généreuse. J’en mange, mais j’en fais aussi des sachets placés dans son congélateur. Le reste du temps, je galère sur les dossiers de financement à déposer avant la fin de juillet, pour mon cabinet et de nombreuses entreprises. Les aides publiques sont accessibles au prix de dossiers compliqués, répondant à la fois aux exigences de l’État, de la Région et de l’Europe. Un pensum.
    
    Enfin, le dimanche tant attendu est là. Dès le petit déjeuner avalé, je file chez elle. Je profite du matin pour ouvrir et aérer tant qu’il fait presque frais, puis je me lance dans l’arrachage de ces sournois pieds d’herbes qui poussent dès que j’ai le dos tourné. Quelques bonnes poignées de gros sel dans les allées pour finir de les éradiquer. Je déjeune d’une carotte rincée et de deux tomates puis un coup de tondeuse sur la petite pelouse devant la maison. Tout me semble nickel, il faut encore faire « la bascule » des volets, fermer ceux qui passent au soleil et ouvrir ceux à l’ombre. La maison me paraît être fraîche et sentir bon. Il ne me reste plus qu’à me changer et ouvrir grand le portail. À dix-sept heures trente, des pneus font crisser le gravier de l’allée. Angélique sort de voiture, encore plus belle que dans ma mémoire, en short et débardeur, luisante de sueur.
    
    — Ah Jérôme, mon merveilleux ami fidèle au poste. Je ne vous touche même pas, je file sous la douche ? Une circulation effroyable en Île-de-France, ...
    ... tous les Parisiens en vacances ou en week-end, ce satané GPS qui voulait sans cesse me ramener sur le périph’ que je voulais à tout prix éviter et par-dessus le marché ma clim en panne : soit je sue, soit je me pèle. J’ai opté pour suer avec les vitres ouvertes. Je suis épuisée.
    — Vous voulez boire quelque chose ?
    — Un jus de fruits bien frais, il doit y en avoir au frigo. Dans dix minutes, je suis toute à vous.
    
    Je commence par décharger sa voiture, ce sera fait. Je prends presque une suée à monter les cartons de vêtements qu’elle a rapportés. Je suis en train de remplir deux verres d’orangeade quand elle sort de la salle de bains dans un petit peignoir oriental fort seyant, très court et très peu fermé, laissant mes regards s’égarer en des zones intimes. Ça y est, je bande. Et ça ne s’arrange pas lorsqu’elle se jette à mon cou et me serre dans ses bras, j’en suis tout ébaubi.
    
    — Jérôme, oserai-je avouer que vous m’avez manqué… infiniment…
    — C’est encore une chose partagée, infiniment aussi.
    — J’ai très soif, à la vôtre.
    
    Elle n’a pas pu ne pas sentir mon érection contre son ventre, comme je vois ses tétons tenter de percer le fin satin du peignoir. Elle a l’alibi de la douche fraîche, d’accord. Elle enfile des sandales et fonce dans le jardin.
    
    — Oooohh ! Magnifique ! Tout est en parfait état, comme si j’étais partie hier. Du paillage, malin… Et ça ? Qu’est-ce que c’est que tous ces tuyaux ?
    — Un système d’arrosage automatique programmable. Une heure trente ...
«12...101112...18»