La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1457) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1457)

... chienne ce qui m’excitait beaucoup, Il caressa chaque partie de mon corps pour marquer Sa possession. Il commença par les épaules, puis mon dos, mes reins, mes fesses, ma raie anale et passa Sa main par dessous pour accéder à mon sexe. Il frotta alors Ses doigts contre mes lèvres intimes et me stimula mon cilto puis s’arrêta. Ensuite le Châtelain se saisit du martinet qu’il avait apporté à la ceinture et me fouetta doucement pour commencer sur les reins, le dos et les fesses. Puis petit à petit, les coups s’intensifiaient et montaient en intensité. Je commençais à danser sous l’effet du martinet et j’adorais cela quand ça agit sur mon côté masochiste. Puis vint le tour du fouet qu’il avait aussi apporté. Et à chaque coup donné par les lanières de cuir, cela marquait un peu plus ma peau rougie de ses zébrures si délicieuses à ressentir. Sous la douleur, je gémissais de plaisir à chaque coup de fouet sur mon dos et sur mon cul d’esclave. Je sentis aussi que les coups de fouet étaient plus durs et plus puissants, mais je ne bougeais pas ou si je bougeais un peu, je reprenais ma place aussitôt. Au bout d’un long et délicieux moment quand Monsieur le Marquis décida que cela suffisait, que ma peau fut marquée à Sa convenance, il stoppa ...

- Très bien. Ta peau rougie et marquée est exactement comme je le voulais. Et tu as étais parfaite Ma belle. Mais malheureusement, je dois en rester là pour le moment avec toi car j’ai à faire et toi aussi. Prends soin de toi Ma belle ...

... salope.

Le Noble me dit cela en déposant un baiser à la fois Dominant et tendre sur mes lèvres et Il repartit avec une de Ses voitures, en l’occurrence une de Ses magnifiques Ferrari et son réputée rouge vermillon, en direction de Son Château… 30 minutes minutes plus tard, j’étais prête et habillée quand les ouvriers arrivèrent pour la pose des nouvelles hautes fenêtres. Cela prit toute la matinée et ce n’est que vers 10h45 que je pus quitter mon petit château pour retrouver le Grand, celui de Maitre. Une fois arrivée dans l’espace réservé aux esclaves, je me dévêtis et je passais mon collier noir ébène que le Châtelain avec fait sur mesure pour moi. Je me dirigeais ensuite à quatre pattes vers le bureau de Monsieur Walter mais il n’y est pas. Donc je me dirigeais dans les nombreux couloirs pour le chercher et essayer de le trouver. Quand par hasard, je passais devant les cuisines, la grande porte était ouverte et j’aperçus Madame Marie en train de corriger, avec sa grande spatule en bois, un soumis mâle en levrette, cul nu bien exposé aux coups de spatule.

- Tiens v’là la pute de Cataleya ! Que viens-tu faire ici, salope ? A cette heure, ce n’est pas le moment de manger ?

- Bonjour Madame Marie, je cherche Monsieur Walter pour savoir quoi faire au Château.

- Tu n’as pas à savoir où est Walter, ni à savoir quoi faire au Château, espèce de curieuse qui n’a pas à prendre des initiatives. Tu dois juste obéir à ce qui t’est exigé et c’est tout, me répondit-elle d’un ton ...