Max et ses femmes, Max est heureux. - Histoires de Sexe

Max et ses femmes, Max est heureux.

... comme avant, lui assure-t-elle.

Max se calme, il était angoissé, il ne veut pas perdre les deux femmes les plus importantes pour lui, sa femme et son assistante.

Au bureau, les choses reprennent leur cours normal. Le soir, Max vérifie bien que la porte est fermée avant de se détendre, bien qu’il aimerait qu’une Valérie ou Lydia viennent lui tenir compagnie. Bien qu’il semble que Valérie ait laissé de côté le jeu « Dites-moi, patron, qui est la plus belle », peut-être qu’elle croit qu’elle a gagné. Max n’est pas près d’oublier ce moment où il a pris un pied d’enfer.

À la maison, les choses ne vont pas en s’arrangeant. Il propose à Cloé un break, car il pense que les enfants souffrent trop de cette situation. Elle accepte bon gré mal gré, il décide de louer un meublé à proximité. Cloé se met en tête qu’il a une maîtresse, alors elle mène sa petite enquête. Elle sollicite une copine pour lui emprunter sa voiture et lui faire garder les enfants. Elle le suit discrètement, le surveille à son logement, mais sans résultat. Elle décide alors de faire le nécessaire pour le reconquérir. Elle commence un régime et se met à la gym afin de retrouver les formes qui lui permettront de remettre les tenues de sa garde-robe et sa lingerie, celles-là même qui faisaient craquer Max.

Suite à la visite, avec Lydia, d’un laboratoire industriel, celle-ci le titille,

— Vous aviez l’embarras du choix avec toutes ces femmes.
— C’est vrai que les femmes sont très représentées dans ...

... cette entreprise, mais j’avais autre chose à faire.
— Oui d’accord, mais ne me dites pas que vous n’avez rien remarqué chez l’assistante de M. Roux.
— Dites-moi, les femmes font partie de votre terrain de chasse ?
— Non, pas du tout, dit Lydia, surprise.
— Pourquoi ne pas faire la même chose avec les hommes, puisque c’est votre genre ?
— Qui vous dit que je ne fais pas pareil avec les hommes ?
— Parce que là, vous me parlez des femmes !
— Je peux vous parler des hommes si vous voulez ?
— Je ne dirais pas que ça m’intéresse, mais je suis curieux de savoir ce que vous avez deviné sur moi.
— Ça, je le garde pour moi, mais rassurez-vous, je n’ai pas de pensées négatives à votre sujet.
— D’accord. Sachez que pendant que je travaille, j’évite d’avoir ce genre de comportement, car ça peut être mal interprété, surtout chez les clients.
— Vous ne vous êtes pas gêné avec moi, pour chercher à deviner…
— Ce que vous cherchiez à me montrer, c’est vous qui avez joué en défaisant les boutons de votre chemisier la première fois et l’autre fois, au bureau, vous en montriez beaucoup trop, comme je vous l’ai dit « ce n’est pas parce qu’on est au régime que l’on ne peut pas regarder la carte ». D’ailleurs, ce petit jeu est risqué, car tous les hommes ne sont pas bienveillants, même au bureau.
— Je fais attention, il n’y a pas d’ambiguïté, je coupe court à tout espoir.
— Vous êtes une femme intelligente, vous comprendrez qu’il y a une différence de tenues à porter suivant les lieux. Au ...