Valentine Challenge: les collègues (1)
Datte: 28/01/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: airdepanache, Source: Xstory
... jolie femme a envie de faire l’amour avec nous, on repousse l’introspection à plus tard, en général.
Elle se mordit la lèvre, un peu ivre, et on recommença à s’embrasser, en une série de petits baisers presque agressifs. Je voulais la becqueter, me repaître d’elle.
Je sentis un frisson parcourir l’échine de ma collègue. Je descendis mes mains, et empoignai fermement son cul à travers le tissu de sa petite jupe. Hmm... elle étouffa un petit gémissement qui trahit l’état dans lequel j’étais en train de la mettre.
— Oh mon Dieu, c’est trop génial, dit-elle doucement, pour elle-même.
Elle se mit à bouger sur moi, à onduler du bassin, avec empressement et expertise, jusqu’à sentir et enchanter ma queue bandée. Une petite danse qu’elle me réservait, et qui ne laissait absolument aucun mystère au sujet de ses intentions. J’avais envie d’elle, elle de moi, et désormais, rien n’allait nous arrêter...
Tous les deux, synchrones, nous nous levâmes de ma chaise de bureau. Les yeux de Milada étaient braqués sur ma braguette, ses gestes étaient saccadés et ses doigts tremblaient. Hâte de passer à la suite. Elle détacha ma ceinture tant bien que mal, malgré la fièvre qui s’emparait d’elle. Je profitai de cet intermède pour lui rouler une pelle à pleine bouche. Nos langues se cherchèrent, se séduisirent, s’enrobèrent, s’entortillèrent.
Après une série d’efforts infructueux, elle parvint finalement à détacher mon pantalon, qui chuta à mes genoux. Ses yeux étaient noirs ...
... d’excitation. Sans dire un mot, elle me jeta le regard le plus enjôleur que je n’avais jamais vu.
Je n’y tenais plus. D’une main ferme, presque autoritaire, j’appuyai sur les épaules de Milada afin qu’elle se penche sur mon bureau, jusqu’à y poser la joue et y aplatir la poitrine. Elle se laissa faire, pleinement consentante à ce qui allait se dérouler. Belle catin.
Son cul était dressé en l’air, folle sensation. En une série de gestes frénétiques, je retroussai sa petite jupe de satin, je saisis son string et l’en débarrassai. Elle poussa un petit « Oh » de surprise. Ses fesses étaient exposées, encadrées par ses bas et un porte-jarretelles très mignon. Comme je l’avais toujours imaginé, cette fille était d’une féminité sophistiquée jusque dans ses dessous.
Elle me fixait, les paupières plissées et son pouce dans ma bouche. J’ignorais pour quelle raison, mais c’est peut-être ce détail-là qui m’excita le plus. Agrippant son cul dévoilé à pleines mains, je le caressai, et glissai deux doigts dans sa fente, la trouvant dégoulinante de mouille, prête à m’accueillir.
Baissant mon caleçon, j’en sortis ma queue, dure comme une massue, que je pris en main. Milada sourit de convoitise en la découvrant.
Après avoir enfilé une capote, j’étais en transe, pressé de la baiser. Je guidai mon gland vers les grandes lèvres de ma collègue, le fis coulisser de bas en haut, avant de me caler et de m’enfoncer, extrêmement lentement, en elle.
Enfin.
Elle accompagna sa pénétration ...