1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1491)


    Datte: 24/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds 

    ... ma bouche et la tourne vers le haut…

- C’est très bien, je n’en attendais pas moins de toi… ma pute… mon chien, ma salope, ma bouche à pisse. Tu peux soit boire soit recracher cette fois…

Alors… ma déchéance est bien amorcée… je suis un urinoir… et peut-être bientôt un vide-couilles… Alors je déglutis au fur et à mesure… Ce n’est vraiment pas bon, mais il faudra que je m’y habitue car je pense que ce n’est pas la première et dernière fois que je devrais servir d’urinoir.

- Tu peux te rincer, puis essuies-toi. Ensuite, tu viens dans le salon pour recevoir ton fouettage réglementaire…

Vite rincé et essuyé, je ne dois pas faire attendre le Maître, je rentre à nouveau dans le salon et me positionne…

- Debout, jambes écartées, le buste incliné, les mains derrière la tête… Et tu ne bouges pas… ma salope. Tu as choisi entre autres le petit martinet, je vais me servir de lui qui est fait pour les couilles… 10 coups…

- Shap !

- Oh !

- Assume ton choix… je reprends à 0

- ...
    ... Shlap…(Je serre les dents, mais cela fait mal) - Shlap…Shlap…

Les dix coups assénés…

- Relève-toi, tu t’habilles, tu ranges le matos et la pièce et tu m’attends dans l’entrée.

Cela chauffe bien… Whao ! Je vais me rhabiller, le tissu du pantalon qui effleure mes couilles me fait rappeler les coups, je range le matériel dans le placard de matos, remet la table basse en place, remonte les volets et vais me positionner à genoux dans l’entrée.

- Votre esclave a terminé vos ordres, Maître.

Je patiente…

- Tu n’es pas encore mon esclave, il faut que je t’accepte… Alors, je te donnerai ma réponse sur Mon acceptation ou non dans mon harem d’esclaves, sous peu… Pour l’instant tu n’es rien pour moi. Embrasse mes chaussures pour me remercier du temps que j’ai pris pour toi.

Après la vénération des pieds du Maître, je me relève…

- Bonne journée Maître

C’est sans un mot du Maître, c’est normal, étant donné que je ne suis rien, que je sors de son appartement… ’’

(A suivre …)
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