Jour 6: soubrette et paillote
Datte: 23/01/2022,
Catégories:
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soubrette,
Masturbation
initiatiq,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
... beaucoup.
Julian s’assit à sa place fétiche se ressourçant de ce point de vue sur la nature qu’il avait dompté à force du choix des arbres, de leur implantation, de la taille des arbustes, du plantage de fleurs et de la tonte de la pelouse.
Charline voulait qu’il s’occupe d’elle comme de son parc et c’est ce qu’elle avait l’impression de vivre. En plus elle disposait de son Julian rien que pour elle, Sylvia étant encore en train de dormir.
— Et voici vos Paracétamols, Monsieur, et votre verre d’eau !
Certes Charline se moquait de son rôle de soubrette, mais quelque part au fond d’elle, elle était ravie d’être celle par laquelle Julian était heureux. Elle ne demandait rien d’autre que d’être à son service, qu’il fasse d’elle ce qu’il voulait quand il voulait. Elle était sienne à jamais.
— Et voilà votre café et vos toasts tout chauds, Monsieur.
Charline termina ses virevoltes en bougeant une chaise tout contre son Julian, pour admirer avec lui cette si belle vue de la terrasse Est. Sa virevolte finale avait placé la chaise un peu trop près de Julian et leurs genoux se touchaient quand elle s’assit. Elle posa sa tête contre son épaule. Cette dernière virevolte était décidément bien maladroite, car Charline s’assit sur sa jupe qui tournait au moment où elle était la plus haute. La bordure de sa jupe arrivait juste à la hauteur de son petit sexe vierge sous sa culotte blanche en coton, dévoilant ses jambes infiniment longues et minces. Elle ne savait pas ...
... pourquoi, mais elle aimait jouer ce rôle de soubrette.
Enivrée par sa valse, Charline sentait que la tête lui tournait et que tous ses sens étaient en éveil. L’odeur du café et des toasts chauds, le contact du genou de Julian, cette vue à couper le souffle, le chant des oiseaux et ce goût de liberté. Elle cala sa respiration trop rapide sur celle de Julian, s’enivrant de sa force et de sa stabilité. Elle n’aurait voulu que jamais ce temps ne s’arrête, qu’il pose une main sur sa cuisse, qu’il caresse son cou, qu’il l’embrasse. Elle chipa le toast que Julian venait de prendre, le croqua à pleines dents et le lui rendit.
— Voleuse ! dit Julian en riant et en lui donnant une simili claque sur sa main.
— Vous êtes où ?
Sylvia les cherchait. Mauvais timing. Pour une fois qu’elle avait son Julian que pour elle. Alors Charline se leva, vola un autre morceau de toast et repartit en virevolte.
— Nous sommes là, Madame ! Sur la terrasse ! Bonjour, Madame, voulez-vous un café, Madame ?
Sylvia éprouva une grande fierté de la voir porter son costume de soubrette et de s’amuser ainsi de la farce qu’elle leur avait faite. Dieu que cette gamine était fraîche ! Tant de spontanéité au réveil était une grâce que la vie leur faisait.
— Qu’il est agréable d’avoir des domestiques, lâcha Sylvia en s’installant sur la chaise à côté de Julian que lui désignait la soubrette.
— Tout le plaisir est pour moi, Madame et vous êtes très belle, ce matin.
Sylvia prit ce compliment et donna un ...