1. La pièce rapportée (2)


    Datte: 23/01/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: AmauryL, Source: Xstory

    ... vision, il avait un peu l’impression qu’ils n’étaient pas là, qu’ils ne pouvaient rien voir. Ça lui donna l’audace d’oser laisser glisser ses mains vers ses seins... Ainsi allongée sur le dos, il y avait un petit espace entre sa petite poitrine et le maillot: il y faufila le bout de ses doigts, jusqu’au téton gauche de la belle alanguie. Sa bite se redressa dans son maillot, heureusement suffisamment ample pour ne pas trop trahir son émotion. Index, majeur et annulaire massaient doucement le galbe de sa poitrine, pendant que sur le côté, le petit doigt s’occupait du malelon. Il poussait le téton de l’extrémité de son petit doigt, le frottait, en faisait le tour, jouait avec...
    
    Lilly laissait faire, elle esquissa même un petit sourire complice. Ses seins se raffermissaient, ses mamelons durcissaient, ses tétons pointaient sous les caresses de son amour. Elle pivota et s’allongea sur le côté, tournée vers lui. Amaury, jusqu’alors à genoux près d’elle s’étendit de tout son long de manière à se retrouver face à elle. Il posa ses lèvres sur les siennes et l’embrassa à pleine bouche.
    
    La main droite sur ses hanches, la main gauche contre sa culotte, il lui roulait de grosses pelles. Ils étaient entièrement concentrés l’un sur l’autre, à l’affût de la moindre vibration, du moindre son, du moindre souffle. En osmose, tellement excités et donc aussi ...
    ... tellement frustrés ! Elle ne pensait qu’à cette bite si proche, qu’elle aurait tant voulu prendre en main, lécher, chevaucher, introduire en elle... Et lui aurait tant souhaité la pénétrer, la voir et l’entendre jouir de sa queue... Instinctivement, sans même s’en apercevoir, leurs bassins s’était animés de mouvements presque imperceptibles mais très évocateurs pour l’obervateur attentif.
    
    Et des observateurs attentifs, il y en avait deux qui les accompagnaient. Le père de Lilly, d’un mouvement de menton accompagné d’un plissement de front réprobateur les désigna à sa femme. Il ne trouva cependant aucun soutien auprès d’elle, elle haussa légèrement les épaules d’un air détaché, semblant dire "et alors?". Le père, lui, avait la gorge nouée. Il voyait sa fille échapper à son emprise sous ses yeux. Il y a quelques mois encore c’était son bébé, sa fille chérie qui ne se souciait que de sa famille et de ses études, et la voilà maintenant qui assumait sans complexes sa féminité, sa sensualité et son désir. Son cerveau était en ébullition. Il aurait voulu ne pas s’en soucier de cette vision, y être indifférent, mais c’était plus fort que lui. Il ne pouvait pas détacher ses yeux du jeune couple, il était à la fois écoeuré et fasciné par le spectacle qu’ils offraient.
    
    Heureusement pour tous, la mère de Lilly sonna l’heure de rentrer au bungalow pour le repas. 
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