Le retour
Datte: 22/01/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Love2share, Source: Hds
Dès le lendemain de cet écart, disons… déraisonnable (voir la série Halloween), nous rentrâmes chez nous dans notre petit appartement de Montréal. Nous habitions alors le Quartier latin, à quelques minutes de marche de la station de métro la plus centrale de la ville. Sans surprise, notre couple a traversé, dans les jours qui suivirent cette nuit de lubricité, une large gamme d’émotions. Qu’avions-nous fait ? Comment avions pu nous montrer si inconscients ? Avions-nous contracté une ou plusieurs ITS ? Avions-nous aimé nous vautrer dans pareille luxure ? Allions-nous réitérer ? Le voulait-elle ? Le voulions-nous ? Pourrons-nous un jour nous contenter de relations sexuelles dites traditionnelles ? Bref, beaucoup de questions pour bien peu de réponses.
Dans l’attente des résultats des tests de dépistage, que nous avions passés à la hâte dans une petite clinique spécialisée, nous convînmes que nous ne verrions personne d’autre et que nous devions nous doter d’une liste de règles si nous décidions de passer de nouveau à l’action.
Marianna ne semblait pas décontenancée par ces évènements. Elle rayonnait comme jamais et acceptait avec plaisir mes nombreuses avances. Les pénétrations à répétitions, et parfois même extrêmes qu’elle avait subi ne lui avaient provoqué aucune lésion ni blessure physiologiques. Son vagin, ainsi que son sphincter, restaient tout de même plus dilatés qu’à l’habitude. Pour faire simple, disons qu’elle était facile à prendre, quel que soit l’orifice ...
... que je convoitais, et elle mouillait beaucoup. Elle en voulait toujours plus et semblait déçue lorsque je jouissais avant qu’elle n’ait pu enchainer au moins deux orgasmes. Bref, ma belle ne regrettait clairement pas cette nuit de débauche et semblait même vouloir continuer sur cette voie.
Elle tenait également à m’enfesser plusieurs fois par semaine avec son gode ceinture afin que mon « trou ne se referme pas », comme elle disait. Non seulement ça l’excitait, mais elle m’avoua sans détour qu’elle désirait me revoir à quatre pattes « pris comme une pute ». Elle prit soin de m’épiler les fesses régulièrement et me léchait désormais l’anus pour m’indiquer que j’allais passer à la casserole. Un week-end, elle m’emmena au sexshop afin de nous trouver un engin digne de la queue de Marc. Elle non plus ne semblait pas vouloir retrouver son tonus d’antan et notre nouveau jouet en silicone, de taille plus qu’intimidante, se retrouvait la plupart du temps dans son joli cul lorsque je lui faisais l’amour ou dans sa chatte lorsque je l’enculais.
La visite médicale
Trois mois s’écoulèrent et la clinique où nous avions passé les tests nous appela; ce qui n’est absolument pas bon signe. Le médecin que nous avions vu désirait nous ausculter une fois de plus. Mon sang ne fit qu’un tour. Marianna fut prise d’un sentiment nouveau de culpabilité que je m’efforçai de réprimer en lui réaffirmant mon amour et ma grande part de responsabilité dans ce qui était arrivé. Heureusement, le doc ...