Découvertes - Histoires de Sexe

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... main quitte mon sexe qui en veut plus, et qui reste agité de spasmes, comme à la recherche d’un contact qui ne vient pas.

— J’ai gardé le meilleur pour la fin…

Une nouvelle photo atterrit devant moi, et je découvre une vue de Marie entièrement nue, sur le dos, les yeux clos, le visage révulsé, les mains crispées sur ses seins. La photo est prise par un homme dont je ne vois que le bas-ventre et un bras, vous forcément. Votre sexe est enfoncé dans celui de ma femme, et votre main libre immobilise un de ses pieds nus, pour maintenir ses jambes relevées pendant que vous la pénétrez. Cette dernière vue me bouleverse, et ma respiration devient saccadée pendant que mon sexe est à nouveau agité de spasmes désespérés.

J’entends votre voix ironique :

— Je précise que ce n’est pas moi qui lui ai demandé de se caresser les seins, elle l’a fait toute seule. Vous pensez qu’on peut en déduire quelque chose sur ce qu’elle ressentait à ce moment-là ? J’aurais voulu que vous l’entendiez gémir pendant que je la pénétrais de plus en plus profondément… J’ai pris un grand plaisir, à ce moment, à lécher et sucer ses pieds et ses orteils. Très mignons ses petits pieds, très excitants… D’ailleurs, c’est quand j’ai fait ça qu’est venu son premier orgasme. Vous saviez qu’elle était aussi sensible ?

Atterré, les yeux rivés sur la photo, trop excité et troublé en imaginant cette scène dans tous ses détails, le souffle court et le cœur battant la chamade, je ne peux évidemment rien ...

... répondre. Mais satisfait par l’effet de vos paroles, vous n’attendiez aucune réponse.

— Allez, debout, et couchez-vous sur le canapé.

Comme un automate, j’obéis, et je me place sur le dos, au bord du canapé.

— Vous vous doutez bien que votre femme, je ne l’ai pas seulement prise par le vagin : je n’allais pas laisser passer une occasion pareille… Voyez-vous, baiser une jeune et jolie bourgeoise, avec l’accord de son mari, c’est déjà très plaisant. Mais savoir que si l’on veut, on pourra aussi la prendre par-derrière, et qu’elle ne pourra même pas refuser, ça, c’est vraiment jouissif. Rares sont les femmes qui acceptent, et plus encore celles qui aiment, se faire prendre analement. C’est dommage : c’est tellement agréable pour nous d’enfoncer notre bite dans leur petit trou serré, et de les prendre longuement comme ça par-derrière, avec la vague impression de violer leur intimité la plus secrète… À votre avis, elle aime ça, votre femme ?
— Je… Je ne crois pas, non…
— Comme c’est curieux… Parce que je vais vous dire : Marie, votre chère épouse, je l’ai sodomisée. Oui, oui. Ou, si vous préférez, je l’ai enculée. Ce dernier terme lui convient mieux en fait. Les mères de famille, on les sodomise. Les salopes, on les encule. Et votre petite Marie, après quelques heures avec moi, elle était devenue une vraie salope, comme je les aime. À la fin, c’est elle qui réclamait que je la prenne, encore et encore… Vous vous rendez compte ? Votre femme qui me demandait de la baiser… Eh ...