1. La trahison


    Datte: 10/08/2018, Catégories: fh, amour, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... indifférent.
    
    — C’est vrai qu’on t’a fait une saloperie, mais on a tellement rigolé. C’est fini maintenant.
    — Oui, c’est du passé, mais je n’ai pas oublié.
    
    Au lycée, elle pensait à lui, a tenté de lui faire comprendre. Elle avait été heureuse qu’il rejette Claire, espérant profiter de cette occasion. Mais devant son refus de tout contact, elle a abandonné. Et aujourd’hui, elle a toujours envie de ce type si bien foutu. En dansant elle se frotte à lui, il en profite pour la serrer et lui faire sentir que lui aussi la désire. En fin de soirée, ils sortent sur le parking, se dirigent vers sa voiture. Un baiser, pas de fioritures. Il l’a caresse un instant, la fait se pencher sur le capot, lui baisse la culotte et l’enfile d’un coup. Heureusement les trémoussements durant la danse contre cette bite bien dure, l’a excitée et elle est toute mouillée.
    
    Longuement, il la travaille, la faisant monter au ciel sans qu’il daigne se déverser en elle, se retire, il la fait mettre à genoux et se sert de sa bouche comme exutoire.
    
    Elle se relève, il lui tend un mouchoir afin qu’elle s’essuie.
    
    — Putain, c’était bon lui dit-elle, mais tu es un drôle de salaud. Ça fait longtemps que j’avais envie de toi, depuis le lycée. Mais tu ne m’as jamais regardée.
    — Je travaillais et m’occupait pas des filles. Mais maintenant, j’ai tout mon temps.
    — Tu reviens samedi prochain ? Je serai là. On pourra remettre ça.
    — Peut-être, on verra.
    
    Ils sont rentrés dans la salle. Puis il est ...
    ... rapidement parti, laissant Géraldine rejoindre son frère.
    
    Elle baise bien, et j’ai pris mon pied. La semaine prochaine, je n’aurai pas à chercher. Elle est bien foutue, mais je ne voudrais pas quand même qu’elle se fasse des illusions.
    
    Toute la semaine il a continué à bucher. Le samedi, fatigué, il sent le besoin de sortir. Cette fois-ci, il n’aura pas à chercher de fille, il y en a une qui l’attend, et elle est bonne.
    
    Géraldine était déjà là et dès qu’elle l’a vu elle s’est précipitée vers lui. Toute la soirée, ils ont dansé, bu. Puis vers le milieu de la nuit, en dansant, elle lui a murmuré à l’oreille :
    
    — Tirons-nous, j’ai envie de toi. J’ai dit à mon frère que tu me raccompagnerais. Allons-y.
    — Comme tu veux, mais où va-t-on ?
    — Chez moi, j’ai un studio et nous serons tranquilles.
    
    Elle l’a guidé jusqu’à son appartement. Une grande pièce tapissée de posters avec des fanfreluches, des coussins, vraiment pas mon genre, pense-t-il.
    
    À peine la porte refermée, elle s’est dépiautée et s’est dirigée vers lui.
    
    — Laisse-moi te débarrasser. Je me régale avec un type comme toi. Tu es drôlement bien foutu. Et de plus, tu as ce qu’il faut pour contenter même les plus difficiles.
    
    Pas besoin de baratiner pense-t-il, c’est elle qui s’en charge. Il s’est allongé et elle est venue près de lui, sur lui. Contrairement aux usages, c’est elle qui a pris l’initiative. Un baiser torride, puis sa bouche est descendue le long du torse jusqu’au morceau qui l’intéresse le plus. Il ...
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