Mon fils, mon maitre (10) - Histoires de Sexe

Mon fils, mon maitre (10)

... termine de me préparer avant de descendre au salon. Je suis à peine posée dans mon canapé que je reçois un SMS de ma mère.

— Je n’y tenais plus, je suis passé prendre Audrey plus tôt. Nous sommes chez toi dans trente minutes.

Je lui réponds, les mains tremblantes :

— Pas de soucis, je vous attends.

Je me lève et pars à la recherche de Sarah. Je la retrouve dans la bibliothèque alors qu’elle revient de la pièce du sous-sol qu’Antoine lui a demandé de nettoyer. Je lui fais part de l’avance qu’a prise ma mère et je lui demande de se tenir prête à leur ouvrir alors que je les attendrai dans le salon pour les accueillir. Sarah a revêtu sa tenue de soubrette : jupe noir à mi-cuisse sous laquelle on devine la présence d’un porte-jarretelles qui maintient des bas noirs, un petit chemisier blanc dont les boutons sont suffisamment ouverts pour deviner une jolie poitrine libre sous l’étoffe et un petit tablier blanc bordé d’une fine dentelle. Elle a rassemblé ses cheveux dans un chignon bien tiré vers l’arrière de son crâne. J’admire la plastique parfaite de ma bonne lorsque le carillon de la porte d’entrée résonne. Sarah se dirige vers le hall d’entrée alors que je croise et décroise mes jambes en attendant nerveusement mes invitées sur le canapé du salon.

Ma mère fait enfin son entrée suivie de très près par Audrey alors que Sarah s’efface pour les laisser entrer dans le salon. Hélène s’avance vers moi et me fait la bise avant de me présenter Audrey. La jeune femme a ...

... la trentaine et mesure dans les 1,70 mètre. Ses cheveux blonds coupés au carré encadrent un visage aux traits fins et réguliers. Ses yeux d’un bleu intense me transpercent et j’ai le sentiment qu’elle me déshabille du regard. Les pans de sa robe portefeuille noire se croisent entre ses seins et se rejoignent sur sa hanche gauche. Ils restent unis au moyen d’une fine ceinture fermée par un simple nœud. Le bas de sa robe légère s’arrête à mi-cuisse et dévoile de jolies jambes nues juchées sur une paire d’escarpins noirs à hauts talons. Audrey a une brève hésitation en nous voyant côte à côte avec ma mère. Un bref instant, je me demande si elle n’a pas décelé les quelques traits de ressemblance qui prouvent qu’Hélène est bien ma mère.

Elle m’adresse un sourire et finit par me tendre la main au moment où Hélène nous présente. Pour la mettre à l’aise, je l’attire doucement vers moi et l’embrasse sur la joue. Il va falloir que j’agisse, car je n’ai aucune envie de m’engluer dans une conversation qui pourrait s’éterniser et peut-être trahir le lien mère-fille. Cette jeune femme m’attire vraiment et je ne peux résister plus longtemps, je passe un bras sur sa hanche et je l’attire plus près de moi alors que mes lèvres glissent vers les siennes. Audrey sait pourquoi elle est venue chez moi et je sens son bras passer sur ma hanche alors qu’elle m’offre ses lèvres. Nos bouches se caressent et nos lèvres s’entrouvrent pour laisser libre cours à nos langues qui ne tardent pas à se mêler ...