1. Hélène


    Datte: 21/01/2022, Catégories: fh, fhh, frousses, couple, Collègues / Travail uniforme, grosseins, sport, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, confession, totalsexe, Auteur: Lauchris, Source: Revebebe

    ... et je darde ma langue pour en faire un petit sexe. J’écarte au maximum le cul de ma belle et lui pénètre son orifice avec mon appendice buccal.
    
    Je bave comme un malade et son cul s’ouvre de plus en plus. Je remue la langue furieusement et Sandrine ne peut s’empêcher de gémir.
    
    — C’est trop bon, continue, ne t’arrête pas.
    
    D’une main, elle étouffe une partie des cris qui veulent s’échapper de sa bouche. Elle se cambre au maximum pour bien faire ressortir son cul et vient à la rencontre de ma langue. Des deux pouces, j’écarte sa chatte et viens déloger le clito qui se cache sous son capuchon. Je me baisse pour le déloger de sa cachette et le prends entre mes lèvres. J’accélère mes suçons sur le bout de chair et Sandrine est prise de tremblement. Son anus me regarde fixement et m’appelle pour venir le combler.
    
    Sans plus attendre, j’y glisse un pouce qui ne rencontre aucune difficulté pour y entrer. J’accélère mes allers et retours dans son fondement et pompe de plus en plus fort sur son clito quand un jet puissant vient gicler dans ma bouche. Une vraie fontaine. J’avale toute la mouille qui se présente, c’est un vrai délice. Sandrine a un long cri à moitié étouffé par sa main. Elle jouit longuement. Son corps tremble encore et je la retiens pour qu’elle ne s’écroule pas par terre.
    
    — Ouah ! C’était trop puissant, mon chéri. Allez, on continue, viens dans mon cul, j’en ai trop envie.
    
    Sandrine a complètement oublié sa chef qui se fait défoncer dans la petite ...
    ... salle. On entend toujours des cris de bêtes. Le trio n’en a pas encore terminé. De mon côté, je défais le bouton de mon short, descends la fermeture éclair et sors ma queue qui n’attendait que ça. Excité depuis trop longtemps, mon gland gorgé de sang est à son maximum, ma queue sort de sa cage de tissu comme un lion en cage. Sandrine la regarde et me jette un regard inquiet. Je vois sa tête et je lui dis :
    
    — Ne t’inquiète pas, je ne suis pas un sauvage. On va y aller progressivement.
    — Vu la grosseur, tu me la mets doucement. J’ai pas envie de marcher comme un canard pendant plusieurs jours devant tout le monde.
    
    Je crache à mon tour sur mon gland et du bout des doigts j’étale la salive tout autour. Mon regard est fixé vers cet œillet qui me nargue et ne demande qu’à être comblé. Je prends ma queue de ma main droite et je présente mon gland à l’entrée de ses reins. Je pousse doucement et je sens son petit trou assoupli précédemment par ma langue et mon pouce s’ouvrir lentement. Sandrine bien que totalement cambrée et offerte, de sa main droite écarte une de ses fesses. Je fais de même avec ma main gauche sur son autre demi-lune. Les jambes écartées, Sandrine est totalement ouverte et sa position d’une indécence totale. Nous sommes deux animaux en rut pour qui le monde extérieur n’existe plus. Je pousse plus en avant. Ses chairs en forme d’étoile s’écartent, mais pour l’instant je rencontre une résistance qui m’empêche d’aller plus en avant.
    
    — Pousse fort en même temps et ...
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