1. La malédiction de la Momie (1)


    Datte: 19/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Trixie, Source: Hds

    ... avais bien besoin. Le jet tiède me fit du bien, je m'étirai langoureusement. Je me savonnai le corps, massant mes seins, je fis consciencieusement ma toilette intime, écartant bien mes lèvres, enfilant mes doigts au plus profond de ma vulve, j'étais pleine de poussière. Il me sembla entendre un léger bruit derrière la porte, qui comportait quelques larges fentes, je prêtai l'oreille, rien sûrement une bestiole.
    
    Je finis la douche, par un jet d'eau froide, cela me fit frissonner et fit durcir mes aréoles et pointer mes tétons, par jeu, je les fis rouler entre mes doigts.
    
    Puis toujours nue, je pris la décision de laver ma robe, qui sentait la sueur, il y avait une brise assez forte qui la sécherait d'ici demain matin. J'ouvris la fenêtre en grand et la mis à sécher.
    
    Ma petite lessive terminée, je réalisai qu'il fallait que je regagne ma chambre. J'étais nue ! Les paroles de d'Amar me revinrent à l'esprit. Ne pas exciter le géant. Il ne m'avait d'ailleurs pas lâché des yeux depuis notre arrivée, et on voyait sur son visage que ma présence le perturbait quelque peu.
    
    Bon, j'enroulai une grande serviette autour de ma poitrine, elle descendait presque à mes genoux, je la croisai le plus possible, et rentrai le coin profondément sur mon sein. Je me regardai dans la glace, à part mes cheveux mouillés, j'étais très présentable. Et puis le couloir n'était pas très long pour rejoindre ma chambre. J'ouvris la porte et je tombai nez à nez avec Simon. Mes yeux se portèrent ...
    ... aussitôt sur l'énorme excroissance qui pointait sous le tissu de son vêtement à hauteur de son sexe. Il avait dû m'épier à travers les fentes de la porte. Il recula. J'hésitai, puis les deux mains en avant je me décidai à avancer. Au moment où je faisais un pas en avant, un courant d'air ferma brutalement la porte coinçant le bas de la serviette. Retenue, l'attache dérisoire céda, je n’eus pas le temps de la retenir, elle tomba sur le sol. Je me retrouvai entièrement nue face au géant, je restai pétrifiée. Les paroles d'Amar me revinrent lancinantes en tête. « Il n'a jamais vu de femme blanche... »
    
    Un large sourire éclaira sa face. Ses yeux brillaient de convoitise, comme ceux d'un enfant devant un jouet inaccessible
    
    — Regarde, ce que toi fais à moi.
    
    Il souleva lentement sa djellaba sur ses cuisses musclées, j'écarquillai les yeux, je restai ébahie, le sexe qu'il m'exhibait défiait les lois de la logique. Il était aussi long que celui de Victor, si ce
    
    n'était plus et aussi gros que celui du fils du marchand de légumes, largement plus important que le diamètre de mon poignet. Il fit passer sa tunique blanche par-dessus sa tête. C'était un monstre de muscles, son corps chocolat foncé, était glabre, à part sa toison pubienne bouclée, sa bite démesurée et décalottée car circoncise, était très sombre presque noire et semblait défier la pesanteur. Son érection était phénoménale.
    
    Je ne savais plus quoi faire, je sentis ma perversion « naturelle » me souffler « et pourquoi ...
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