Une mère exemplaire ! (7)
Datte: 19/01/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... conduisant, Sabine lui jeta un coup d’œil évaluateur et passa sa main libre dessus, en propriétaire...
— C’est bien ma belle, tu es divine ! Maintenant veux-tu faire autre chose pour moi ?
— Oui... ce sera quoi ? Ne me pousse pas trop loin, Sabine...
— Ta chatte, je veux la voir ! Relève ta robe jusqu’au bassin... allez !
Cette fois-ci, Cécile n’émit pas de commentaire. Et c’est donc poitrine et pubis à l’air, qu’elle reposait servilement dans la voiture, en pleine circulation, à 19h00, un soir de fin d’été.
Évidemment, il y avait quelques coups de klaxon, de types, qui avaient eu la chance de voir le physique enchanteur de la jeune femme dénudée.
Sabine était de plus en plus excitée par le tour pris par la situation. Elle en était sûre, à présent, son amie ferait tout ce qu’elle lui demanderait !
Elle avait à sa disposition une soumise, un "jouet sexuel", dont elle allait pouvoir user et abuser ! Étonnant retour de situation. La soumise née s’était transformée en dominante ! Et elle se disait qu’elle adorait ça ! Elle allait lui en faire faire des cochonneries !
— Écarte les cuisses, je veux mieux voir ta vulve !
Et miracle, Cécile obéit sans broncher ! Elle allait la pousser encore plus loin !
— Branle-toi en te caressant les seins !
— Mais, on va me voir Sabine !
— BRANLE-TOI !!
La jeune femme se plaça une main entre les cuisses, et timidement, enfonça deux doigts dans son vagin, qu’elle fit aller et venir.
— Plus vite, plus ...
... profond !
Dit Sabine, d’une voix rauque déformée par le désir.
Elle avait de plus en plus de mal à se concentrer sur sa conduite, jetant des coups d’œil de plus en plus fréquents sur sa conquête !
Sa voisine l’excitait vraiment à se masturber sans honte, à côté d’elle, quasi nue, dans le flot de circulation. Elle acceptait toutes ses demandes. Sabine, en plus de son excitation sexuelle, en concevait une jouissance morale fantastique, une ivresse de toute puissance. Cela la grisait !
Ses cuisses et sa robe à elle étaient empoissées de sa jouissance sexuelle.
— Les seins !
— Quoi ? demanda Cécile, en gémissant sous sa caresse manuelle.
— Caresse tes putains de seins ! cria-t-elle, en lui souffletant celui de gauche, de sa main.
— Aie ! Oui Sabine, gémit Cécile en obtempérant, et en se caressant son sein droit, de sa main encore libre.
— Tu aimes quand je suis violente avec toi, Petite Pute ?!
— OUI ! cria Cécile, puis en s’étranglant de honte : j’aime ça !
— Dorénavant, je t’appellerai Petite Pute !
— Oui Sabine...
— Tiens, je vais te dire un truc qui va te faire monter au plafond ! Tu sais pourquoi je t’ai demandé de passer toute l’après-midi à la photocopieuse ?
— Non... humummmm... Sabine ? répondit Cécile, à moitié étranglée par sa jouissance montante...
— Tu étais si absorbée et paniquée par ta tâche insurmontable, que tu ne t’es pas rendu compte que quand tu t’élevais, pour remettre en marche cette saleté de machine, tu dévoilais le ...