Le baccalauréat (1) - Histoires de Sexe

Le baccalauréat (1)

Le baccalauréat

Claude et Julie sont des parents heureux, ils ont un fils qui est grand maintenant, Sylvain, dix-huit ans. Il vient de passer son bac avec succès.

Pour l’instant, il est en vacances avant d’intégrer l’université, et il reste à la maison.

Un jour, Julie en discutant avec Claude, en vient à parler de leur fils, après avoir dit qu’elle était heureuse qu’il ait son bac, elle hésita un moment puis :

— Il faudra que tu parles à ton fils, voilà, depuis longtemps, j’ai remarqué qu’il n’arrêtait pas de me mater, ça me gène. Quand je monte à l’étage, il essaie de voir mes cuisses ou ma culotte, si je me penche, il regarde mes nichons, je le soupçonne d’essayer de me voir quand je suis sous la douche, et l’autre jour, je faisais la vaisselle, il est venu derrière moi, il a mis ses mains sur mes hanches, et il m’a embrassée dans le cou. Inutile de te dire que je l’ai viré.

— Bah, il est jeune, il faut bien qu’il découvre.

— ça ne te dérange pas que ton fils joue les voyeurs ?

— Ben non, c’est normal à son âge, tu devrais même l’aider à découvrir en t’habillant plus sexy.

— Tu n’y penses pas !

— Tu n’aimes pas ton fils ?

— Bien sûr que je l’aime, mais de là à lui montrer mon corps !

— Ce serait pourtant mieux pour tout le monde, et puis ça ne sort pas de la famille. Ça ne te fait rien quand il t’embrasse ?

— Si, j’aime bien, mais j’évite d’y penser.

— Tu vois ! Réfléchis bien, tu verras que tu ne le regretteras pas.

Le ...

... lendemain, Claude profite de l’absence de Julie pour aller discuter avec son fils.

— Tu as cinq minutes, Sylvain, j’ai quelque chose à te dire.

— Oui, papa, pas de problème.

— Voilà, ta mère m’a fait part de remarques à ton sujet, il paraît que tu la mates et que tu la serres d’un peu trop près, c’est vrai ?

Sylvain ne sait que répondre, il bafouille un non indistinct.

— Ne crains rien, je n’ai pas l’intention de t’accuser, mais je voudrais savoir quelles sont tes intentions avec elle.

— Pour dire la vérité, je crois que je suis amoureux d’elle, elle me hante tout le temps.

— Je m’en doutais. Tu voudrais bien lui faire l’amour ?

— J’en rêve. Mais excuse-moi de te dire ça, je ne devrais pas.

— Je vais essayer d’arranger ça.

— Oh, comment te remercier !

Claude dit à Julie :

— Samedi soir, on va arroser le bac de Sylvain, surtout qu’il a eu une mention très bien, alors je compte sur toi.

— Pourquoi ?

— Tu le sais très bien, ton fils se languit de toi. Habille-toi de façon suggestive, ne nous déçois pas.

Julie pense aux conseils de Claude, elle hésite, pourtant l’autre jour, Sylvain l’a prise dans ses bras avec une grande douceur et ça lui a fait un effet inoubliable.

Enfin, elle se décide, elle met une jupe courte et un maillot décolleté au lieu de sa robe informe habituelle.

— Ah, enfin, tu te décides ! Tu es beaucoup mieux comme ça.

— Quand même, ça me fait drôle de faire ça pour mon fils.

— C’est sûr qu’il va être ...