L'éducation de Juliette (14) - Histoires de Sexe

L'éducation de Juliette (14)

... langue fouille sa grotte, lui arrachant des gémissements de plaisir. Je bois sa cyprine qui coule en abondance. Ma bouche s’empare de son clito, je l’aspire, le mordille, le suce.

- Oh oui, c’est bon, branle moi, j’aime

Sylvie est à point, je m’approche de son oreille, je lui demande si elle veut que son père l’encule. J’ai deux doigts dans sa chatte qui la ramone, pas trop loin, elle est encore vierge.

- Non

- Non quoi, tu ne veux pas qu’il t’encule ?

- Non je veux qu’il me baise, qu’il prenne mon pucelage.

- Sûre ?

- Oui.

Je regarde mon parrain, il a repris du poil de la bête. Il ne connaissait pas ce côté de sa fille et sa filleule, mais le spectacle ne l’a pas laissé indifférent.

- Parrain, Sylvie veux t’offrir son pucelage.

Mon oncle nous regarde, médusé.

- Mais ….

- Mais quoi, tu aimes bien les jeunes pucelles.

- Oui, mais c’est ma fille.

- Je t’ai vu te branler pendant qu’Alex l’enculée, elle ta sucé jusqu’au bout, avalant tout ton jus, enfin une partie, puisqu’elle a partagé le reste avec moi. Je suis sûre que tu meures d’envie de la baiser, alors ne te fais pas prier.

Alors, mon oncle abandonnant toutes réticences s’approche de sa fille, il s’installe entre ses cuisses grandes ouvertes qui attendent avec impatience la venue de la grosse bite de son père.

Le gland écarte les lèvres, mon oncle pénètre lentement la moule de sa fille totalement offerte. Il ...

... marque un temps d’arrêt. Il doit avoir atteint le pucelage.

- Attention ma chérie, tu vas avoir un peu mal.

- Vas-y Papa

Mon oncle pousse d’un coup. Sylvie laisse fuser un léger cri. Mon oncle s’arrête pour laisser sa fille s’habituer à cette présence inhabituelle.

- Viens papa, baise moi, défonce moi

Alors le père commence son va-et-vient. Il baise sa fille, un rêve qu’il ne pensait voir se réaliser un jour. Ses mouvements de plus en plus ample arrache des soupirs de plaisirs à son enfant. Sylvie à l’air d’apprécier cette bite exceptionnelle qui la remplie. Pour une première fois elle est gâtée.

Mais la chatte étroite de ma cousine a tôt fait de venir à bout de la résistance de son père. Il veut se retirer, mais Sylvie le retient. Elle veut profiter jusqu’au bout de ce pieu et de la semence qui envahit sa chatte.

Mon parrain se retire. Sylvie se love dans ses bras.

- Que vat dire ton fiancé quand il verra que tu n’es plus vierge ?

Demande son père.

- Ne t’en fais pas, parrain, il est puceau. Je suis sûre qu’il ne se rendra compte de rien. Alors, tu es heureux d’avoir été le premier pour ta fille.

Mon parrain acquiesça.

- Tu vas voir, nous allons être au petit soin pour toi. Tu as deux salopes à ta disposition, sans tabou, avec trois trous chacune à ta disposition, et peut être une troisième bientôt.

- Une troisième ? Qui ?

- Ta future belle fille, je vais m’en occuper.